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De nombreux articles de ce thème portent sur des sujets (développement de traitements ou de vaccins destinés à un usage dans la population humaine, etc.) qui s'éloignent des préoccupations des membres de l'AEEMA. Par suite, à partir du 22 février 2021, seuls les articles mentionnant l’emploi d’animaux de laboratoire et présentant de l'intérêt pour une meilleure connaissance de l'épidémiologie du SARS-CoV-2 ont été référencés dans ce thème.
 
 
 
     Auteurs : Blaurock C. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 20 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 1er mai 2022)

Les hamsters dorés étant utilisés en tant que modèle pour des recherches sur le SARS-CoV-2, les auteurs ont déterminé quel inoculum viral était optimal pour réaliser des infections expérimentales. Par ailleurs, sachant que des millions de hamsters dorés sont élevés en tant qu’animaux de compagnie, ils ont établi quelle dose infectieuse en culture cellulaire (DICT) était suffisante pour induire une excrétion virale chez les hamsters dorés ; ils ont constaté qu’elle était équivalente à la dose minimale infectieuse estimée chez l’être humain. Ils en tirent la conclusion que les hamsters dorés infectés par le SARS-CoV-2 pourraient constituer une source de contamination pour la population humaine. 
 
      Auteurs : Xu Y. et al.
      Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 13 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 24 avril 2022)

Les données de nature biochimique fournies par cette étude confirment la grande affinité des sous-variants BA.1 et BA.2 du variant Omicron du SARS-CoV-2 avec l’ACE2 de la souris et du chat, ce qui n’était le cas que pour le chat avec la souche originelle du virus. Pour ce qui est de la souris, trois mutations essentielles à cette affinité ont été repérées. Les auteurs en concluent que la souris pourrait jouer un rôle dans l’évolution du variant Omicron et de ses sous-variants. Ils imaginent un cycle épidémiologique hypothétique du virus passant de l’être humain au chat, du chat à la souris avec finalement un retour à l’être humain. 

     Auteurs : Mohandas S. et al.
     Source : eBioMedicine

    Date de publication : 8 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 24 avril 2022)

Étude du pouvoir pathogène, de la sévérité de la maladie et de la réponse immunitaire générée chez le hamster doré soumis à une épreuve virulente avec le variant Omicron du SARS-CoV-2, par comparaison avec une épreuve avec le variant Delta. A aussi été examiné le pouvoir neutralisant des sérums de hamsters dorés infectés par le variant Omicron sur d’autres variants préoccupants (Alpha, Bêta et Delta).

Characterisation and natural progression of SARS-CoV-2 infection in ferrets
     Auteurs : Au G. G. et al.
     Source : Scientific Reports

     Date de publication : 5 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 17 avril 2022)

Résultats de l’infection expérimentale de furets par une souche australienne de SARS-CoV-2 : suivi clinique, excrétion virale, lésions anatomo-pathologiques, etc. Des particules virales infectieuses n’ont été retrouvées que dans la sphère oro-pharyngée de ces animaux, pendant trois à sept jours après épreuve. 
 
     Auteurs : Thakur N. et al.
     Source : Journal of General Virology

     Date de publication : 4 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 mai 2022)

Par la technique du pseudotypage à l’aide d’un lentivirus, les auteurs examinent si l’émergence de différents variants préoccupants du SARS-CoV-2 a rendu possible son attachement au récepteur ACE2 d’espèces animales considérées jusque-là comme réfractaires à la souche originelle du virus. Cela s’avère être en particulier le cas pour différentes espèces (souris, rat, furet, civette) selon les variants étudiés. Les auteurs s’interrogent en conséquence sur la possible constitution de nouveaux réservoirs animaux du virus.
 
     Auteurs : Field C. J. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de publication : 25 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 avril 2022)

Cette expérience conduite avec des hamsters dorés démontre qu’après une première infection par le SARS-CoV-2, une immunité et une protection vis-à-vis d’une seconde épreuve s’installent chez ces animaux pour au moins six mois. Cependant, il peut s’avérer que dans de rares cas un sujet, qui possède pourtant des titres en anticorps aussi élevés que ses congénères, manifeste des symptômes de maladie avec multiplication virale dans son système respiratoire pouvant conduire à sa mort.
     Auteurs : Martins M. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

      Date de publication : 21 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 avril 2022)

Étude en laboratoire des caractéristiques de l’infection de jeunes cerfs de Virginie par le SARS-CoV-2 : période d’incubation, excrétion virale, transmission entre congénères, organes de multiplication du virus.
 
Reduced Pathogenicity of the SARS-CoV-2 Omicron Variant in Hamsters
     Auteurs : McMahan K. et al.
     Source : Med

     Date de publication : 17 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)

Les auteurs montrent que le variant Omicron est moins pathogène chez le hamster doré que la souche originelle et les variants précédents du SARS-CoV-2. La charge virale dans les cornets nasaux se révèle plus élevée qu’avec la souche originelle et moins élevée dans le parenchyme pulmonaire ; par ailleurs, les animaux ne perdent pas de poids. 
 
     Auteurs : Tabynov K. et al.
     Source : Frontiers in Veterinary Science

     Date de publication : 14 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)

Résultats obtenus dans la mise au point d’un vaccin à sous-unité dirigé contre le SARS-CoV-2, qui est destiné aux chats.
 
     Auteurs : Laghi V. et al.
     Source : Frontiers in Cellular and Infection Microbiology

     Date de publication : 11 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)

Tentative d'infection de larves de poisson zèbre par le SARS-CoV-2. Ces larves s'avèrent réfractaires, si ce n'est au niveau de la vessie natatoire, où une augmentation modeste du titre en ARN viral est observée.
 
     Auteurs : Carossino M. et al.
     Source : Viruses

     Date de publication : 5 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)

Les auteurs montrent que chez la souris de souche (humanisée) K18-hACE2, la létalité est systématiquement associée à une migration virale par le neuroépithélium olfactif ainsi qu’à la neuropathie qui en résulte, alors que l’inflammation pulmonaire reste modérée.
 
     Auteurs : Hansen F. et al.
     Source : Cell Reports

     Date de publication : 21 février 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 mars 2022)

Les auteurs ont utilisé le hamster doré comme modèle pour évaluer l’effet d’une réinfection avec la souche homologue WA1 (souche originelle) et les souches hétérologues B.1.1.7 (Alpha) et B.1.351 (Beta) du SARS-CoV-2. Dans chaque cas de réinfection, l’immunité conférée par l’infection primaire évite aux hamsters de manifester des signes cliniques ou de présenter des lésions pulmonaires, et aucune réplication virale ne se produit dans leur système respiratoire profond. Cependant, cette réinfection conduit à la réplication du virus dans le système respiratoire supérieur avec possibilité d’excrétion.
 
     Auteurs : Virtanen J. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 16 février 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 février 2022)

Les auteurs indiquent que l’infection expérimentale de visons d’élevage avec le variant Omicron du SARS-CoV-2 provoque chez ces animaux des symptômes modérés et des lésions pulmonaires. Il est possible de détecter chez eux de l’ARN viral pendant plusieurs jours, et ils peuvent transmettre le variant à des congénères naïfs maintenus dans des cages situées à quelque distance d’eux. 
 
     Auteurs : Kapczynski D. R. et al.
     Source : Virology

     Date de publication : 12 février 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 mars 2022)

En vue d’établir un modèle prédictif sur la sensibilité de diverses espèces animales au SARS-CoV-2 à partir de cultures cellulaires, les auteurs ont exprimé les gènes de l’ACE2 et de la protéase TMPRSS2 de ces espèces dans des lignées de fibroblastes aviaires. Ils montrent que les résultats auxquels ils aboutissent sont en accord avec ceux obtenus par épreuves virales réalisées à ce jour chez le chat, le cheval, le porc, la chèvre et le hamster doré. Cela ouvre la voie à l’étude facilitée de la sensibilité au virus d’autres espèces.
 
     Auteurs : Armando F. et al.
     Source : Research Square

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 1er février 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 février 2022)

L’article confirme que le variant Omicron du SARS-CoV-2 a un pouvoir pathogène moindre que la souche originelle ou les variants préoccupants Delta et Gamma sur l’appareil respiratoire supérieur et inférieur du hamster doré.
 
     Auteurs : Abdelnabi R. et al.
     Source : Antiviral Research

     Date de publication : 21 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 février 2022)

En comparant chez le hamster doré le pouvoir infectieux du variant Omicron du SARS-CoV-2 à celui de la souche originelle de ce virus (D614G), il apparaît que la charge en ARN détectée dans les poumons avec le premier est inférieure de 3 log10 à celle mesurée avec le second. Aucune particule virale vivante du variant Omicron n’a été détectée dans ces poumons. En outre, aucune inflammation circumbronchique ni bronchopneumonie n’a été observée dans les poumons des hamsters inoculés avec le variant Omicron.
 
     Auteurs : Halfmann P. J. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 21 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 30 janvier 2022)

Les expérimentations effectuées sur plusieurs souches de souris et de hamsters avec différents isolats du variant Omicron du SARS-CoV-2 ont conduit à une plus faible perte de poids, une charge virale moindre dans les tractus respiratoires supérieur et inférieur ainsi que des signes cliniques et des lésions moins marqués qu’avec les autres variants du virus.
 
     Auteurs : Speranza E. et al.
     Source : Life Science Alliance

     Date de publication : 17 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 30 janvier 2022)

Expérimentation utilisant le macaque rhésus comme modèle pour caractériser la relation entre l’âge et les réponses immunitaires de l’hôte en cas d’infection par le SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Muñoz-Fontela C. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 13 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 30 janvier 2022)

Dans cet article, le groupe d’experts sur la modélisation de la COVID-19 mis en place par l’OMS donne en particulier un avis sur l’utilisation des modèles animaux pour évaluer la virulence des variants du SARS-CoV-2, leur transmission ainsi que leur capacité à échapper aux défenses immunitaires.
 
     Auteurs : Kuiper M. J. et al.
     Source : ILAR Journal

     Date de publication : 12 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 février 2022)

En combinant modélisation biomoléculaire et données expérimentales disponibles, les auteurs cherchent à expliquer comment des mutations intervenues chez certains variants préoccupants du SARS-CoV-2 ont fait que les souris de laboratoire tout venant y sont devenues sensibles. Considérant le risque de créer par là un nouveau réservoir du virus, ils suggèrent d’exercer une surveillance sur le terrain, des souris dans des pays ou territoires où elles sont susceptibles de venir au contact de personnes hébergeant ces variants.
 
     Auteurs : Furuyama W. et al.
     Source : mBio

     Date de publication : 11 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 février 2022)

Mise au point d’un vaccin ayant pour support le virus de la stomatite vésiculeuse et exprimant différentes protéines du SARS-CoV-2, et résultats obtenus après administration à des macaques rhésus par voie intramusculaire ou voie intranasale.
 
     Auteurs : Port J. R. et al.
     Source : Nature Microbiology

     Date de publication : 11 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 30 janvier 2022)

Évaluation de l’efficacité de la transmission par aérosol du SARS-CoV-2 à différentes distances et en fonction du temps en utilisant des hamsters dorés maintenus dans des cages séparées mais reliées entre elles.
 
     Auteurs : Kim Y-I. et al.
     Source : Nature Communications

     Date de publication : 10 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 janvier 2022)

Après inoculation expérimentale du SARS-CoV-2, on retrouve chez les furets âgés (> 3 ans) une charge virale plus élevée, une excrétion virale plus durable par voie nasale et une inflammation plus sévère des tissus pulmonaires que chez les furets juvéniles (≤ 6 mois) et les jeunes adultes (1–2 ans). De plus, des furets naïfs contaminés par contact avec des sujets âgés infectés excrètent plus de particules virales que d’autres mis au contact de juvéniles ou de jeunes adultes infectés. 
 
     Auteurs : Bentley E. G. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 30 décembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 janvier 2022)

Par comparaison aux infections expérimentales par la souche initiale apparue au Royaume-Uni (Pango B) et la souche Delta, les infections de souris humanisées (K18-hACE2) par le variant Omicron (B.1.1.529) du SARS-CoV-2 se traduisent par des signes cliniques atténués, une charge virale moindre dans le tractus respiratoire supérieur et inférieur et une évolution de la maladie vers la guérison. 
     Auteurs : Pan T. et al.
     Source : Signal Transduction and Targeted Therapy

     Date de publication : 14 décembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 26 décembre 2021)

Les auteurs démontrent en laboratoire que le variant bêta du SARS-CoV-2 (B.1.351) est capable de se multiplier chez la souris commune et d’induire chez cet animal des lésions pulmonaires sévères ainsi qu’une intense réponse inflammatoire. En outre, les souris infectées par ce variant sont capables de le transmettre à des congénères par simple contact.
 
     Auteurs : Zeiss C. J. et al.
     Source : PLOS ONE

     Date de publication : 23 novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)

En utilisant le coronavirus responsable de la sialodacryoadénite du rat, les auteurs tentent de déduire dans quelle mesure la protection immunitaire conférée par une infection naturelle préalable ou bien la vaccination influe sur l'excrétion du SARS-CoV-2 et sa transmission à des congénères après une nouvelle exposition au virus. 
 
     Auteurs : Horiushi S. et al.
     Source : Science Immunology

     Date de publication : 26 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)

Les auteurs démontrent que l’infection de hamsters par le SARS-CoV-2 provoque une réponse immunitaire innée retardée mais solide par mobilisation de lymphocytes B et T. Ceux-ci, associés à une rapide génération d’anticorps neutralisants, permettent de maîtriser une réinfection avec la souche initiale ou un variant préoccupant chez les animaux guéris mais n’évitent pas une transmission du virus à des congénères naïfs ou séropositifs.  
 
     Auteurs : Ku M-W. et al.
     Source : EMBO Molecular Medicine

     Date de publication : 25 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)

Mise au point d’un vaccin à vecteur lentiviral codant pour la glycoprotéine de spicule de la souche originelle du SARS-CoV-2. Celui-ci assure une parfaite protection non seulement du tractus respiratoire mais aussi de l’encéphale de souris humanisées (hACE2) vis-à-vis de cette souche originelle du virus ainsi que du variant préoccupant Gamma (P.1).
 
An alphavirus replicon-based vaccine expressing a stabilized Spike antigen induces protective immunity and prevents transmission of SARS-CoV-2 between cats
     Auteurs : Langereis M. A. et al.
     Source : npj Vaccines

     Date de publication : 20 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Mise au point d’un candidat vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 pour administration au chat. Ce vaccin est dérivé d’une souche atténuée du virus de l’encéphalite équine vénézuélienne exprimant la protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Hawks S. A. et al.
     Source : mBio

     Date de publication : 19 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

En utilisant le hamster comme modèle d’infection par le SARS-CoV-2, les auteurs démontrent que le virus est émis dans des particules d’aérosol avant et pendant l’apparition des premiers symptômes et que le virus est principalement contenu dans des particules d’une taille inférieure à 5 μm, taille qui leur permet de rester dans l’air et d’être inhalées. 
 
     Auteurs : Roozendaal R. et al.
     Source : Nature Communications

     Date de publication : 7 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Efficacité de long terme chez le macaque rhésus d’un vaccin unidose utilisant comme vecteur un adénovirus et codant pour la protéine de spicule du SARS-CoV-2. Ce vaccin confère chez ces animaux une protection solide des voies respiratoires profondes, sans toutefois éviter une certaine réplication du virus dans les voies respiratoires supérieures. 
 
     Auteurs : Wu X. et al.
     Source : Cell Reports

     Date de publication : 5 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Après avoir vacciné un alpaca avec la protéine de spicule du SARS-CoV-2, les auteurs ont récupéré et assemblé des nanoparticules ayant un pouvoir de neutralisation du virus qui, administrées par voie intranasale à des souris hACE2, leur ont conféré une protection totale contre l’infection. Jusqu’à cet article, l’efficacité de telles nanoparticules n’avait été montrée qu’in vitro. 
 
     Auteurs : Abdelnabi R. et al.
     Source : EBioMedicine

     Date de publication : 23 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Démonstration de l’effet antiviral obtenu grâce à la combinaison de deux médicaments (Molnupiravir et Favipiravir) administrés au hamster doré utilisé comme modèle lorsque celui-ci est infecté par le SARS-CoV-2. En outre ce traitement prévient presque complètement toute transmission du virus à des congénères utilisés comme sentinelles.
 
     Auteurs : Valkenburg S. A. et al.
     Source : Emerging Infectious Diseases

     Date de publication : 23 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Les auteurs ont étudié la cinétique de survie du SARS-CoV-2 chez des souris transgéniques (K18 hACE2) après leur mort et montré qu’en cinq jours la présence du virus infectieux déclinait de plus de 96 % dans le poumon et celle d’exemplaires de l’ARN de plus de 48 %. 
 
     Auteurs : Chandrashekar A. et al.
     Source : Science Translational Medicine

     Date de publication : 21 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 octobre 2021)

 Cette étude montre que l’immunité naturelle conférée chez des macaques rhésus par la souche originelle du SARS-CoV-2 (souche de Wuhan ou WA1/2020) ne confère qu’une protection incomplète contre les variants B.1.1.7 (alpha) et B.1.351 (bêta).
 
     Auteurs : Bewley K. R. et al.
     Source : Science Advances

     Date de publication : 10 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Recherches visant à montrer l’absence d’accident de vaccination se traduisant par une facilitation de l'infection, tel qu’il s’en produit avec le SARS-CoV-1 et le MERS, en testant chez le furet et le macaque rhésus un vaccin à virus inactivé et adjuvé dirigé contre le SARS-CoV-2. 
 
     Auteurs :Tostanoski L. H. et al.
     Source : Science Translational Medicine

    Date de publication : 7 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Les auteurs montrent que l’infection de hamsters dorés par la souche WA1/2020 protège ceux-ci d’une épreuve virulente ultérieure avec des souches hétérologues du SARS-CoV-2. Cette même protection est obtenue quand les hamsters reçoivent le vaccin Ad.26.COV2.S (vaccin à adénovirus sérotype 26) avant épreuve virulente.
 
     Auteurs : Port J. R. et al.
     Source : Nature Communications

    Date de publication : 17 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Comparaison chez le hamster doré de l’effet de différentes voies d’exposition au SARS-CoV-2 (par inoculation intranasale, aérosol, supports inanimés) en matière de pathologie respiratoire, de charge virale, de perte de poids et d’excrétion virale.
 
      Auteurs : Martins M. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 16 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 août 2021)

Effet de l’âge sur la sensibilité au SARS-CoV-2 du furet utilisé comme modèle, en comparant excrétion virale et séroconversion chez des animaux recevant une inoculation par voie intranasale à l’âge de 6 mois ou bien à 18 - 39 mois.
 
     Auteurs : Huang H. et al.
     Source : Cell Death & Differentiation

     Date de publication : 13 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Les auteurs s’inquiètent du fait que les variants du SARS-CoV-2 dont la protéine de spicule porte la mutation N501Y peuvent infecter les cellules de souris dotées du récepteur ACE2 normal (et non du récepteur humain hACE2). Ces résultats, convergents avec ceux d’autres chercheurs, leur font craindre que les souris puissent jouer un rôle dans la propagation chez l’Homme des variants préoccupants portant cette mutation. 
 
     Auteurs : Nouailles G. et al.
     Source : Nature Communications

     Date de publication : 11 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Il s’agit d’analyses spatio-temporelles des processus cellulaires et moléculaires en jeu au niveau pulmonaire chez le hamster doré infecté par le SARS-CoV-2, qui, lorsqu’on les compare à des jeux de données provenant de patients atteints de la COVID-19, montrent une remarquable concordance de ces processus entre les deux espèces. 
 
     Auteurs : Shang C. et al.
     Source : Frontiers in Microbiology

    Date de publication : 10 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Les auteurs ont évalué chez les hamsters dorés l’impact d’une première infection par le SARS-CoV-2 sur leur protection ultérieure vis-à-vis de ce virus et leur capacité à le transmettre à leurs congénères. Leurs recherches montrent notamment que ces animaux restent réceptifs au virus et sont capables par contact direct d’infecter des hamsters naïfs.
 
     Auteurs : Bessière P. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 9 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Démonstration de l’efficacité chez le hamster doré d’un traitement par interféron juste avant ou juste après l’infection par le SARS-CoV-2, et de l’inefficacité de ce traitement dès l’apparition des premiers symptômes de la maladie.
 
     Auteurs : Cao X. et al.
     Source : The FASEB Journal

     Date de publication : 8 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Après avoir fabriqué un lentivirus doté à sa surface du tropisme de la protéine de spicule du SARS-CoV-2, les auteurs montrent que, chez une lignée de souris (type sauvage C57BL/6J), cette protéine peut, à elle seule, avoir un effet pathogène sur les cellules, notamment en induisant une réaction inflammatoire aiguë.
 
     Auteurs : Zabaleta N. et al.
     Source : Cell Host & Microbe

     Date de publication : 7 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Démonstration de l’immunité conférée chez les souris de souches BALB/C et C57BL/6 et des macaques rhésus après administration d’une seule dose de deux candidats vaccins à adénovirus exprimant divers antigènes du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Rudd J. M. et al.
     Source : Viruses

     Date de publication : 5 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

 Cet article rapporte la mise au point d'un modèle chat pour l'étude de l'infection par le SARS-CoV-2 : l'administration à cet animal d'un inoculum important par voie intratrachéale conduit à l'apparition de symptômes et de lésions histopathologiques similaires à ce qu'on observe dans les cas humains sévères de COVID-19.
 
     Auteurs : Park J-G. et al.
     Source : iScience

     Date de publication : 3 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Résultats obtenus grâce à l’administration par voie intranasale à des souris et des hamsters d’un vaccin vivant préparé avec le virus de la maladie de Newcastle exprimant la protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : van Doremalen N. et al.
     Source : Science Translational Medicine

     Date de publication : 27 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)

Résultat de l’administration du vaccin ChAdOx1 nCoV-19/AZD1222 par voie intranasale à des hamsters dorés et des macaques rhésus sur l’excrétion du SARS-CoV-2 (souche mutante D614G).
 
     Auteurs : Lee J. S. et al.
     Source : Nature Communications

     Date de publication : 27 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)

Evolution des caractéristiques des populations de macrophages présents dans les liquides de lavage broncho-alvéolaire des poumons de furets infectés expérimentalement par le SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Malherbe D. C. et al.
     Source : npj Vaccines

     Date de publication : 22 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)

Efficacité chez le hamster doré d’un vaccin unidose utilisant le virus de la stomatite vésiculeuse comme vecteur et exprimant la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Wu Y. et al.
     Source : Science Translational Medicine

     Date de publication : 20 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)

Les auteurs considèrent ce candidat vaccin comme très prometteur car, après deux ou trois injections, il a généré de hauts titres en anticorps chez les souris, les hamsters et les primates non-humains. En outre, les hamsters vaccinés n’ont subi aucune perte pondérale et n’ont manifesté aucun symptôme de COVID-19 après épreuve virulente.
 
     Auteurs : Francis M. E. et al.
     Source : Scientific Reports

     Date de publication : 15 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)

Les auteurs ont évalué l’effet de l’âge et du sexe chez des furets infectés par le SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Dias de Melo G. et al.
     Source : EMBO Molecular Medicine

     Date de publication : 12 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 25 juillet 2021)

Évaluation des effets de l’ivermectine chez des hamsters dorés auxquels a été inoculé le SARS-CoV-2 par voie intranasale. Sans effet sur la charge virale, cette molécule semble néanmoins prometteuse car il a été observé une atténuation marquée des symptômes de la maladie.
 
     Auteurs : Dampalla C. S. et al.
     Source : PNAS

     Date de publication : 1er juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Des souris de souche K18-hACE2 infectées à dose létale par le SARS-CoV-2 survivent de façon prolongée lorsqu’elles sont traitées à l’aide de dérivés d’un inhibiteur du virus appelé GC376 qui ont été chargés en deutérium.
 
     Auteurs : Bricker T. L. et al.
     Source : Cell Reports

     Date de publication : 28 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Protection conférée par un vaccin à adénovirus du chimpanzé codant pour la protéine de spicule du SARS-CoV-2 administré par voie intranasale ou intramusculaire au hamster doré.
 
     Auteurs : Li D. et al.
     Source : Cell

     Date de publication : 18 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Par épreuve virale chez la souris et des primates non-humains, les auteurs montrent que des anticorps humains dirigés contre des parties différentes de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 peuvent être protecteurs chez ces animaux alors que des évaluations in vitro laissent penser que certains de ces anticorps favorisent l’expression de la maladie.
 
     Auteurs : Yinda C. K. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de publication : 14 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 juin 2021)

Des hamsters infectés une première fois en utilisant un aérosol avec une souche humaine du SARS-CoV-2 (celle circulant classiquement dans la population humaine aux Etats-Unis) peuvent être réinfectés avec la souche B.1.351 (dite sud-africaine) ; les signes cliniques restent alors modérés, sans lésion pulmonaire, l’excrétion virale est seulement transitoire, et ces hamsters ne transmettent pas le virus à des congénères.
 
     Auteurs : Zhang C. et al.
     Source : Emerging Infectious Diseases

     Date de publication : 11 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 juin 2021)

Étude de la taille des particules d’aérosol contenant le SARS-CoV-2 et de la durée d’excrétion du virus chez des macaques crabiers infectés expérimentalement par différentes voies.
 
     Auteurs : Aicher S-M. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 31 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 juin 2021)

Après avoir mis au point des lignées cellulaires provenant de plusieurs espèces de chauves-souris d’intérêt pour la recherche sur les coronavirus, les auteurs montrent l’impossibilité de les infecter avec le SARS-CoV-2, même si elles expriment un niveau détectable d’ACE2. Si l’entrée du virus dans des cellules de chauves-souris de lignées « humanisées » est possible, celui-ci ne peut pas s’y multiplier.
 
     Auteurs : He X. et al.  
     Source : Cell

     Date de publication : 31 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Ayant démontré précédemment la protection du vaccin Ad26.COV2.S chez le macaque rhésus (voir Mercado N. B. et al, Nature, 30 juillet 2020), les auteurs ont évalué le pouvoir immunogène et la protection apportée par des doses réduites de ce vaccin dans cette même espèce. Ils constatent que, pour protéger le tractus respiratoire supérieur des animaux, il convient d’utiliser une dose plus élevée que pour la protection du tractus respiratoire profond.
 
     Auteurs : Gultom M. et al.
     Source : Emerging Infectious Diseases

     Date de publication : 26 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 juin 2021)

Utilisation d’une banque de cellules épithéliales des voies respiratoires à l’état différencié provenant de différentes espèces d’animaux domestiques ou sauvages pour évaluer leur sensibilité au SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Tian J. et al.
     Source : Viruses

     Date de publication : 23 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)

Un traitement par l’acide γ-aminobutyrique (GABA) chez la souris réduit la charge virale dans leurs poumons, limitant ainsi les dommages causés par l’infection par le SARS-CoV-2, ce qui conduit à envisager un nouveau type de traitement qui viserait les récepteurs de GABA des cellules immunitaires et de l’épithélium pulmonaire pour y limiter la réplication virale.
 
     Auteur : Spencer A. J. et al.
     Source : Nature Communications

     Date de publication : 17 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 juin 2021)

 Données détaillées sur la réponse immunitaire obtenue chez la souris après vaccination contre le SARS-CoV-2 à l’aide d’un vaccin à auto-amplification de l’ARN ou un vaccin ayant pour vecteur un adénovirus.
 
     Auteurs : Tiboni M. et al.
     Source : International Journal of Pharmaceutics

     Date de publication : 6 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Revue générale des vaccins contre le SARS-CoV-2 actuellement disponibles ou en cours de développement. Cette revue met en particulier l’accent sur les avantages et inconvénients de ceux administrables par voie nasale, avec les résultats obtenus lors des essais sur animaux.
 
    Auteur : Rosselkhoznadzor (Service fédéral pour la surveillance vétérinaire et phytosanitaire de Russie)
     Source : Rosselkhoznadzor

     Date de publication : 30 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)

Fabrication en Russie d’un vaccin contre le SARS-CoV-2, dénommé Carnivac-CoV, pour un usage chez les animaux. 
  
     Auteurs : Solforosi L. et al.
     Source : Journal of Experimental Medicine

     Date de publication : 28 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Évaluation comparée de l’immunité obtenue après administration du vaccin Ad26.COV2.S avec ou sans seconde injection chez des macaques rhésus dans la force de l’âge ou bien âgés.
 
     Auteurs : Noy-Porat T. et al.
     Source : iScience

     Date de publication : 26 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)

Efficacité chez la souris de souche hACE2 d’anticorps monoclonaux d’origine humaine ciblant trois épitopes distincts du domaine N-terminal de la sous-unité S1 de la protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Arunachalam P. S. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 19 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)

Démonstration de l’efficacité chez des primates non-humains d’un vaccin adjuvé sous-unitaire comprenant le domaine de liaison de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 exprimé sur une nanoparticule protéique à deux composantes.
 
     Auteurs : Sun Y. J. et al.
     Source : The Journal of Clinical Investigation

     Date de publication : 12 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

L’avoralstat inhibe l’entrée et la réplication du SARS-CoV-2 dans les cellules épithéliales du système respiratoire de l’Homme. Cette molécule utilisée en tant que traitement chez des souris sensibles au virus réduit significativement les titres viraux dans leurs tissus pulmonaires et limite leur perte de poids, indiquant qu’elle pourrait être utilisée dans le traitement de la COVID-19 chez l’Homme.

     Auteurs : Patel D. R. et al.
     Source : Journal of Virology

     Date de publication : 7 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 18 avril 2021)

L’article montre que les contacts directs entre furets constituent la voie principale de transmission d’une souche de référence du SARS-CoV-2 aux USA, que ces animaux sont protégés d’une réinfection pendant au moins 56 jours, même quand leurs niveaux d’anticorps sont faibles ou indétectables, et que leur vaccination par voie intramusculaire conduit bien à la production d’anticorps mais n’empêche pas l’infection de leurs voies respiratoires supérieures.
 
     Auteurs : Brustolin M. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de publication : 7 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 18 avril 2021)

L’article montre qu’une première infection par le SARS-CoV-2 du hamster soumis à une nouvelle épreuve avec le virus originel ou le mutant D614 ne confère pas une immunité complète chez cet animal, une réplication virale se produisant dans ses voies respiratoires supérieures sans que survienne une pneumopathie.
 
     Auteurs : Ho J. S. Y. et al.  
     Source : Cell

     Date de publication : 31 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)

Essai, chez la souche de souris transgénique hACE2 et le hamster doré, d’un médicament déjà approuvé par la FDA pour son effet inhibiteur de la topoisomérase 1, facteur connu pour activer certains gènes en cas d’infection par des virus ou des bactéries, en vue de supprimer l’effet létal résultant de la cascade inflammatoire induite par le SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Jia Q. et al.
     Source : npj Vaccines

     Date de publication : 30 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Essai d’un vaccin bactérien atténué (dérivé de l’agent responsable de la tularémie et utilisé pour la vaccination contre plusieurs maladies) exprimant des protéines de structure du SARS-CoV-2, et évaluation de son efficacité chez le hamster doré.
 
     Auteurs : De Gasparo R. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 25 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Mise au point par simulations informatiques d’une molécule bispécifique de type IgG1 fabriquée à partir de deux anticorps obtenus à partir de personnes atteintes par la COVID-19 en convalescence, qui s’avère protectrice dans un nouveau modèle de souris humanisée et prévient tout processus d’échappement viral.
 
     Auteurs : Kurup D. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 25 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Développement d’un vaccin contre le SARS-CoV-2 ayant pour vecteur le virus rabique inactivé et résultats après épreuve chez le hamster.
 
     Auteurs : Ren W. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 24 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 4 avril 2021)

Les auteurs s’intéressent aux déterminants génétiques qui sous-tendent la capacité des orthologues de l’ACE2 à permettre l’entrée du SARS-CoV-2 dans les cellules, en comparant les séquences de l’ACE2 du koala et de la souris à celles de l’Homme et en identifiant les résidus clés chez ces animaux qui empêchent le virus de s’attacher.
 
     Auteur : Liu R. et al.
     Source : PNAS

     Date de publication : 23 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 juin 2021)

Essai chez la souche de souris hACE d’un vaccin recombinant préparé à l’aide du virus de la vaccine exprimant la protéine de spicule du SARS-CoV-2 et administré en deux injections.
 
     Auteurs : Klasse P. J. et al.
     Source : Science Advances

     Date de publication : 19 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 28 mars 2021)

Revue des données actuellement disponibles sur le pouvoir immunogène (anticorps, cellules T) conféré chez les primates non humains par les vaccins COVID-19 actuellement soumis à essais cliniques de phase 1, 2 ou 3 ainsi que sur les résultats obtenus après épreuve virale chez des macaques immunisés.
 
     Auteurs : van der Lubbe J. E. M. et al.
     Source : npj Vaccines

     Date de publication : 19 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Les auteurs confirment que le candidat vaccin Ad26.COV2.S est efficace pour protéger le hamster d’une infection intranasale par le mutant G614 du SARS-CoV-2 et confirment l’absence d’effet de facilitation de l’infection respiratoire.  
 
     Auteurs : Montagutelli X. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 18 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 28 mars 2021)

Si les souris de laboratoire classiques sont résistantes aux lignées du SARS-CoV-2 qui prévalent actuellement (celles classées B1 qui portent la mutation D614G ou la B.1.1.7), elles s'avèrent sensibles aux lignées dites préoccupantes (variants of concern (VOC) : B.1.351 et P.1) lorsqu'elles sont soumises à épreuve virulente par voie intranasale, conduisant à retrouver des titres viraux élevés dans leurs poumons. L'explication de cette situation se trouverait au moins en partie dans des modifications intervenant au sein du domaine d'attachement au récepteur cellulaire de la protéine de spicule du virus.
 
     Auteurs : Hassan A. O. et al.
     Source : Cell Reports Medicine

     Date de publication : 17 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)

Après avoir démontré son efficacité chez la souris (voir Hassan A. O. et al., Cell, 19 août 2020), les auteurs montrent l’efficacité chez le macaque rhésus du vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 utilisant comme vecteur un adénovirus du chimpanzé qu’ils ont conçu.
 
     Auteurs : Bashor L. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 9 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 21 mars 2021)

L'étude s'intéresse aux variants d'une souche humaine d'origine américaine du SARS-CoV-2 qui apparaissent après trois passages en culture cellulaire, ainsi qu'aux modifications génétiques intervenant dans ces variants après infection expérimentale de chiens, chats, hamsters et furets.
 
     Auteurs : Kim Y-I. et al.
     Source : mBio

     Date de publication : 2 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 mars 2021)

Mise au point d’un candidat vaccin à nanoparticules de ferritines liées au domaine de liaison de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 et résultats obtenus par épreuve chez le furet. Ces ferritines, obtenues par ingénierie, consistent dans le cas présent en l’auto-assemblage d’une sous-unité de ferritine de la grenouille taureau (Rana Catesbeiana) avec le noyau de la ferritine de Helicobacter pilori.
 
     Auteurs : Sahakijpijarn S. et al.
     Source : International Journal of Pharmaceutics: X

     Date de publication : 27 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Meilleure efficacité, par comparaison à une administration intraveineuse, du remdesivir pour traiter l’atteinte pulmonaire due à l’infection par le SARS-CoV-2 chez le hamster lorsque le produit se présente sous forme de poudre à inhaler préparée en utilisant un système de congélation en couche mince.
 
     Auteurs : de Vries R. D. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 17 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 mars 2021)

Les chercheurs ont conçu un inhibiteur (dimère lipopeptidique) qui bloque la fusion entre la membrane des cellules de l’hôte et l’enveloppe du SARS-CoV-2. Ils montrent que cet inhibiteur empêche totalement la transmission directe du virus entre furets sains traités et furets infectés mis en présence les uns des autres durant 24h.
 
     Auteurs : Cohen A. A. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 12 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 21 mars 2021)

Les auteurs ont mis au point deux types de vaccins à base de nanoparticules exprimant, pour l’un, le domaine de liaison au récepteur cellulaire du SARS-CoV-2 et, pour l’autre, ce domaine, ainsi que celui d’autres béta-coronavirus animaux potentiellement zoonotiques ; puis ils ont examiné le résultat obtenu par vaccination de souris transgéniques.
 
     Auteurs : Wang W. et al.
     Source : Cellular & Molecular Immunology

     Date de publication : 12 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Les auteurs rapportent avoir mis au point un vaccin contre le SARS-CoV-2, ayant pour support des nanoparticules de ferritine, qui induit une immunité de longue durée chez la souris.
 
     Auteurs : Wahl A. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 9 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 28 mars 2021)

En utilisant des souris immunodéficientes chez lesquelles du tissu pulmonaire humain a été greffé, les auteurs montrent notamment que le SARS-CoV-2 ainsi que deux coronavirus de chauves-souris qui en sont proches peuvent se répliquer dans ledit tissu sans nécessiter aucune adaptation, ce qui indique selon eux que les chauves-souris hébergent des coronavirus directement transmissibles à l’Homme.
 
     Auteurs : Biswas R. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 8 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 21 février 2021)

Evaluation de l’efficacité thérapeutique chez la souris hACE2 infectée par le SARS-CoV-2 d’un dérivé d’une protéine jouant un rôle dans la régulation de la croissance et la différentiation cellulaire (NELL1). Ce traitement améliore significativement l’état de santé ainsi que le taux de survie des souris soumises à épreuve virale.
 
     Auteurs : Liu X. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 7 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 février 2021)

Bons résultats obtenus chez la souris avec des vaccins à nanoparticules de ferritine codant pour différentes portions de la protéine de spicule du SARS-CoV-2. La possibilité de leur administration par voie non seulement sous-cutanée mais aussi orale ouvre, selon les auteurs, des perspectives en matière de vaccination des animaux domestiques ou sauvages.
 
     Auteurs : Yan V. C. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 5 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 février 2021)

Bien que la FDA ait autorisé le remdesivir pour le traitement de la COVID-19, les auteurs montrent par des études de biodisponibilité et de concentration plasmatique conduites chez des chiens beagle que l’administration de son nucléoside parent (appelé GS-441524) permettrait d’obtenir une meilleure efficacité.
 
     Auteurs : Ye Z-W. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de publication : 4 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 février 2021)

Chez le hamster doré infecté par le SARS-CoV-2, l’administration combinée de méthylprednisolone et de remdesivir prévient la perte de poids ainsi que la charge virale, la seconde molécule atténuant l’effet immunodépresseur de la première.
 
     Auteurs : Yadav P. D. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 3 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 février 2021)

Efficacité chez le macaque rhésus d’un vaccin à ADN plasmidique codant pour la composante antigénique immunogène du SARS-CoV-2. Les résultats de la vaccination s’avèrent meilleurs avec un système d’administration sans aiguille par comparaison à une injection à l’aide d’une seringue à aiguille.
 
     Auteurs : Johnston S. C. et al.
     Source : PLOS ONE

     Date de publication : 2 février 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 21 février 2021)

Évaluation comparée de la transmission par voie aérienne de la COVID-19 chez le singe vert, le macaque rhésus et le macaque crabier, afin de déterminer les paramètres critiques associés à sa pathogénie et d’établir le modèle primate le plus proche de la maladie chez l’Homme.
 
     Auteurs : Vogel A. B. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 1er février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Les auteurs décrivent les résultats favorables obtenus chez la souris et le macaque rhésus en utilisant deux candidats vaccins contenant des antigènes dérivés de l’ARN messager codant la protéine de spicule du SARS-CoV-2 et présentés sous forme de nanoparticules lipidiques.
 
     Auteurs : Speranza E. et al.
     Source : Science Translational Medicine

     Date de publication : 27 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 février 2021)

Par des techniques biomoléculaires (séquençage unicellulaire de l’ARN) et l’immunohistopathologie, les auteurs montrent notamment que dans les poumons des singes verts le SARS-CoV-2 se multiplie principalement dans les pneumocytes et que ce sont des macrophages dérivés de monocytes interstitiels plutôt que des macrophages alvéolaires qui pilotent la réponse inflammatoire dans les poumons. Ceci ouvre des perspectives pour déterminer des cibles thérapeutiques
 
     Auteurs : Dey A. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 26 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 février 2021)

Mise au point d’un candidat vaccin à ADN plasmidique codant pour la protéine de spicule du SARS-CoV-2. Administré par voie intradermique. Son pouvoir immunogène a été évalué chez la souris, le cobaye et le lapin et des études toxicologiques ont été conduites chez le rat et le lapin.
 
     Auteurs : Brocato R. L. et al.  
     Source : npj Vaccines

     Date de publication : 25 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Mesure de l’efficacité d’un vaccin à ADN fondé sur la protéine de spicule du SARS-CoV-2 testé sur des hamsters dorés de type sauvage et d’autres ayant reçu transitoirement un traitement immunosuppresseur.
 
     Auteurs : Brouwer P. J. M. et al.
     Source : Cell

     Date de publication : 25 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 mars 2021)

Essai d’un vaccin à nanoparticules exprimant de multiples copies de la protéine de spicule du SARS-CoV-2. Les études d’immunité montrent qu’il induit la production d’anticorps neutralisants efficaces chez la souris, le lapin et le macaque crabier.
 
     Auteurs : De Gasparo R. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 22 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 31 janvier 2021)

Mise au point par simulations informatiques d’une molécule bispécifique de type IgG1 fabriquée à partir de deux anticorps obtenus à partir de personnes atteintes par la COVID-19 en convalescence, qui s’avère protectrice dans un nouveau modèle de souris humanisée et prévient tout processus d’échappement viral.
 
     Auteurs : Kumari P. et al.  
     Source : Viruses

     Date de publication : 19 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Description de la pathogénicité du SARS-CoV-2 dans le système nerveux central de la souris transgénique K18-hACE2, avec description des voies plausibles de migration du virus après infection intranasale.
 
     Auteurs : Yinda C. K. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 19 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 février 2021)

Les auteurs montrent que chez la souris de souche hACE2, l’expression de l’infection par le SARS-CoV-2 est dose-dépendante et cliniquement très proche de celle de la COVID-19 chez l’Homme. Ce modèle peut donc aider à mieux connaître la pathogénie de la COVID-19 ainsi qu’à tester de nouveaux traitements.
 
     Auteurs : Jan J-T. et al.
     Source : PNAS

     Date de publication : 15 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 février 2021)

Après avoir identifié par différentes techniques 15 petites molécules à activité anti-infectieuse vis-à-vis du SARS-CoV-2 parmi près de 3 000 agents utilisés en médecine humaine ou animale (dont 190 herbes de la médecine traditionnelle chinoise), les auteurs montrent, par épreuve chez le hamster doré, que la méfloquine, le nelfinavir, et des extraits du ganoderme luisant (Ganoderma lucidum), de la pérille (Perilla frutescens) et de la menthe chinoise (Mentha haplocalyx) sont efficaces contre l’infection.

     Auteurs : Nishikawa T. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 14 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 24 janvier 2021)

Essai chez le rat et la souris d’un vaccin à ADN plasmidique exprimant la protéine de spicule du SARS-CoV-2, administré par voie intradermique.
 
     Auteurs : García-Arriaza J. et al.
     Source : Journal of Virology

     Date de publication : 7 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 17 janvier 2021)

Développement d’un vaccin contre la COVID-19 fondé sur le virus de la vaccine exprimant la protéine de spicule entière du SARS-CoV-2 et immunité obtenue chez des souris de souche K18-hACE2.
 
     Auteurs : Marsh G. A. et al.
     Source : Transboundary and Emerging Diseases

     Date de publication : 5 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)

Cet article australien comprend une partie relative aux effets de l’infection expérimentale de deux furets par une souche de SARS-CoV-2 obtenue après un passage en culture cellulaire d’un isolat provenant d’un citoyen chinois venu de Wuhan (Rép. pop. de Chine) au tout début de l’épidémie. Les résultats obtenus avec ces furets sont semblables à ceux d’autres expérimentations de même nature (absence de symptômes, multiplication du virus dans les voies nasales, etc.).
 
     Auteurs : Xue X. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 25 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 janvier 2021)

Une perte d’audition importante ayant été constatée chez certaines personnes atteintes par la COVID-19, les auteurs se sont intéressés aux dommages causés par le SARS-CoV-2 sur le système auditif en utilisant comme modèles la souris et le hamster.
 
     Auteurs : Rauch S. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 23 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 janvier 2021)

Conception d’un vaccin à ARN messager dont les nucléotides n’ont pas été modifiés chimiquement (avantage : permettre une administration à faible dose), qui induit une solide réponse immunitaire et cellulaire chez des primates non-humains.
 
     Auteur : U.S. Department of Health & Human Services - NIH Accelerating COVID-19 Therapeutic Interventions and Vaccines (ACTIV) Preclinical Working Group
     Source : U.S. Department of Health & Human Services - National Institutes of Health

     Date de publication : 23 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 17 janvier 2021)

Il s’agit d’un portail donnant accès à des lignes directrices et des vidéos sur les meilleures pratiques à utiliser en matière de modèles animaux pour la recherche sur la COVID-19.
 
     Auteurs : Baisa G. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 21 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 janvier 2021)

Conception de vaccins préparés à partir d’antigènes issus de deux régions distinctes de la sous-unité S1 du spicule du SARS-CoV-2 fusionnés au domaine Fc d’IgG1 d’origine humaine. Celui des vaccins contenant le domaine de liaison viral au récepteur cellulaire ACE2 génère une activité de neutralisation du virus chez le macaque crabier qui s’avère efficace, durable et bien plus élevée que chez l’individu convalescent.

     Auteurs : Hou Y. J. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 18 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 décembre 2020)

La comparaison du nouveau variant du SARS-CoV-2 (contenant la mutation D614G) à sa forme ancestrale apparue à Wuhan (R. P. de Chine) dans les cellules humaines et dans deux modèles animaux (souris de souche hACE2, hamster doré) montre une très faible modification de virulence du virus chez ces animaux, et une plus grande transmissibilité entre personnes plutôt qu’une plus grande pathogénicité du virus.
 
     Auteurs : Singh D. K. et al.
     Source : Nature Microbiology

     Date de publication : 18 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 janvier 2021)

La détresse respiratoire aiguë provoquée par le SARS-CoV-2 chez les macaques et les babouins est en correspondance avec la progression de la COVID-19 chez l’être humain, ce qui fait de ces animaux des modèles intéressants pour tester des vaccins et des médicaments.
 
     Auteurs : Xiang Y. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 18 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 décembre 2020)

Production de nano-anticorps qui bloquent avec une remarquable efficacité la protéine S du SARS-CoV-2 dans une conformation inactive. Ces nano-anticorps présentent l’avantage de pouvoir être produits à faible coût et administrables par inhalation, ce qui en fait des agents thérapeutiques potentiels intéressants pour traiter les maladies virales à tropisme respiratoire.
 
     Auteurs : Soni D. K. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 17 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 décembre 2020)

Les auteurs ont analysé le rôle d’un micro-ARN (miR-155) dans les réponses immunitaire et inflammatoire chez l’hôte infecté par le SARS-CoV-2, puis ont étudié l’effet potentiel d’une thérapie anti-miR-155 chez la souris transgénique hACE2. Les résultats obtenus permettent d’envisager la mise au point d’un traitement visant à atténuer la tempête inflammatoire se produisant dans les poumons de sujets infectés.
 
     Auteurs : Hassert M. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 16 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 janvier 2021)

Utilisation d’une nouvelle méthode pour faire exprimer le récepteur ACE2 humain chez la souris, qui a permis de caractériser la réponse immunitaire au SARS-CoV-2 chez la souris, en particulier en ce qui concerne les épitopes fonctionnels des cellules T. Les auteurs considèrent cette information comme essentielle, notamment pour l’évaluation de vaccins.
 
     Auteurs : Ku M-W. et al.
     Source : Cell Host & Microbe

     Date de publication : 14 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 31 janvier 2021)

Résultats d’essais menés dans deux modèles pré-cliniques (souris, hamster) d’un candidat vaccin contre la COVID-19, utilisant un vecteur lentiviral, administrable par voie nasale. L’étude montre que ce candidat vaccin induit de fortes réponses de type anticorps, neutralisant très efficacement le SARS-CoV-2, ainsi qu’une réponse cellulaire abondante.
 
     Auteurs : Counoupas C. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 10 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 décembre 2020)

Résultats sérologiques intéressants en matière de COVID-19 obtenus chez la souris avec un vaccin combinant BCG et protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Norheim G. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 9 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 décembre 2020)

Essai chez la souris d’un vaccin à ADN plasmidique codant pour trois unités : une unité se liant aux récepteurs des chimiokines dans les cellules présentatrices d’antigène, une unité de dimérisation dérivée d’un IgG3 humain et une autre à visée antigénique fondée sur la protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Zhang H. et al.
     Source : bioRxiv

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 9 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 décembre 2020)

Efficacité d’un anticorps d’origine humaine dirigé contre la protéine de spicule du SARS-CoV-2 administré par voie nasale à des souris, en vue de préparer un spray à usage humain.
 
     Auteurs : Shuai L. et al.
     Source : National Science Review

     Date de publication : 8 décembre 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 décembre 2020)

Cette publication explore le potentiel du vison comme modèle animal dans le développement des mesures de contrôle de la Covid19, en particulier pour évaluer l’efficacité des vaccins (essai d’immunisation avec un vaccin sous-unité utilisant la protéine de spicule du SARS CoV-2).
 
     Auteurs : Linsky T. W. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 4 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 21 février 2021)

Mise au point de protéines leurres qui se lient à la protéine de spicule du SARS-CoV-2 comme cela se produit avec le récepteur cellulaire (interface ACE2). L’une de ces protéines non seulement se montre efficace in vitro mais protège le hamster doré soumis à une épreuve virale. 
 
     Auteurs : McMahan K. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 4 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 mars 2021)

Les auteurs montrent par leurs expériences sur le transfert d’IgG purifiées provenant de macaques rhésus convalescents à des macaques sains soumis à une épreuve avec le SARS-CoV-2 le rôle que doit jouer l’immunité cellulaire dans un contexte où les titres en anticorps sont en décroissance ou à peine suffisants pour conférer une protection.
 
     Auteurs : Cox R. M. et al.
     Source : Nature Microbiology

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 3 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 décembre 2020)

En utilisant le furet comme modèle, essai d’un médicament antiviral administrable par voie orale (déjà efficace contre les virus influenza) pour traiter l’infection par le SARS-CoV-2, en vue de démontrer son efficacité thérapeutique ainsi que le blocage de la transmission virale.
 
     Auteurs : Sanchez-Felipe L. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 1er décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 21 février 2021)

Description d’un candidat vaccin contre le SARS-CoV-2 utilisant comme vecteur le virus atténué de la fièvre jaune qui exprime la forme pré-fusionnelle non clivable de la protéine de spicule du virus. La sécurité, le pouvoir immunogène et l’efficacité de ce vaccin ont été testés chez le hamster, la souris et le macaque crabier.
 
     Auteurs : Weissman D. et al.
     Source : Cell Host & Microbe

     Date de publication : 1er décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 31 janvier 2021)

Par diverses méthodes dont des recherches chez la souris et le macaque rhésus, les auteurs montrent que les vaccins actuellement en phase d’essai, dérivés de la souche D614 du SARS-CoV-2 ou dont la protéine de spicule contient la variante D614G sont aussi efficaces contre le mutant G614 qui a remplacé la souche originelle dans la plus grande partie du monde.

     Auteurs : Hörner C. et al.
     Source : PNAS

     Date de publication : 30 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 janvier 2021)

Développement d’un candidat vaccin de la rougeole exprimant la glycoprotéine de spicule du SARS-CoV-2, qui induit une réponse immunitaire élevée chez la souris après deux injections et une protection chez le hamster doré après épreuve avec un isolat viral d’origine humaine ayant subi très peu de passages
 
     Auteurs : Rosenke K. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de publication : 29 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Selon les auteurs, le hamster doré apparaît comme hautement sensible au SARS-CoV-2, ce qui en fait un modèle idéal pour la mise au point de traitements préventifs ou curatifs contre la COVID-19.
 
     Auteurs : Baum A. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 27 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Les auteurs ont évalué l’efficacité d’un cocktail d’anticorps neutralisants ayant pour cible la protéine S du SARS-CoV-2 chez le macaque rhésus et le hamster doré, retenus tous deux comme modèles de l’infection humaine. Ce cocktail, utilisé à titre préventif ou thérapeutique, a conduit à des résultats favorables dans les essais cliniques conduits avec ces deux modèles.
 
     Auteurs : Wang Z-J. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de publication : 26 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Candidat vaccin contre le SARS-CoV-2 mis au point par l’Institut des produits biologiques et l’Institut de virologie de Wuhan (R.P. de Chine), dont la faible toxicité, le caractère immunogène conduisant à une persistance des anticorps, ainsi que la bonne tolérance ont été étudiés dans plusieurs espèces animales.
 
     Auteurs : Haute Autorité de Santé
     Source : Haute Autorité de Santé

     Date de publication : 25 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 décembre 2020)

Document pédagogique comportant une partie 2 intitulée « Modèles animaux en vaccinologie et dans le contexte de l’infection par le SARS-Cov-2 », qui s’intéresse en particulier aux limitations et problématiques des modèles animaux en matière de COVID-19.
 
     Auteurs : Li W. et al.
     Source : PNAS

     Date de publication : 24 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Efficacité des points de vue prophylactique et thérapeutique d’un anticorps monoclonal humain inhibant le SARS-CoV-2 dans deux modèles souris et un modèle hamster.
 
     Auteurs : Zheng H. et al.  
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 12 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)

Les auteurs montrent que le macaque rhésus s’avère un modèle très intéressant de l’atteinte humaine par la COVID-19, et ce par plusieurs aspects : excrétion virale, lésions de pneumonie interstitielle ainsi que réponses immunitaire et inflammatoire dans le tractus respiratoire.
 
     Auteurs : Zheng J. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 9 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 février 2021)

En s’intéressant en particulier à l’anosmie, les auteurs montrent que les souris de souche K18-hACE2 fournissent un modèle utile pour étudier la COVID-19, aussi bien sous sa forme bénigne que létale et pour évaluer l’efficacité des interventions thérapeutiques.
 
     Auteurs : Pandey K. et al.
     Source : Transboundary and Emerging Diseases

     Date de publication : 31 octobre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 janvier 2021)

A partir des connaissances déjà disponibles pour le SARS-CoV et le MERS, les auteurs discutent des modèles animaux qui reproduisent les caractéristiques de la COVID-19 humaine de la façon la plus proche, ainsi que des avantages et des inconvénients des différentes méthodes disponibles pour utiliser ces modèles.
 
     Auteurs : Plante J. A. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 26 octobre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 janvier 2021)

Les auteurs étudient en particulier l’effet de l’infection du hamster par la souche du SARS-CoV-2 devenue dominante dans le cours de l’épidémie de COVID-19 (mutation D614G de la protéine de spicule). Chez cet animal, cette souche est mieux adaptée à l’appareil respiratoire supérieur sans que la charge virale dans les poumons soit modifiée. Les résultats d’une infection compétitive entre souche originelle et souche devenue dominante sont aussi donnés.
 
     Auteurs : Rathnasinghe R. et al.
     Source : Emerging Microbes & Infections

     Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 17 octobre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 décembre 2020)

Résultats comparés obtenus après infection par le SARS-CoV-2 de deux lignées de souris transgéniques, et avantages de ces modèles souris par rapport au modèle hamster doré.
 
     Auteurs : Corbett K. S. et al.
     Source : New England Journal of Medicine

     Date de publication : 15 octobre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)

Résultats positifs obtenus après administration d’un candidat vaccin à ARN messager du SARS-CoV-2 chez des macaques rhésus.
 
     Auteurs : Kaptein S. J. F. et al.
     Source : PNAS

     Date de publication : 9 octobre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

En utilisant le hamster comme modèle, les auteurs démontrent que l’efficacité antivirale du favipiravir ne peut être obtenue qu’avec administration d’une dose élevée de ce médicament. L’hydroxychloroquine quant à elle ne montre aucune activité antivirale.
 
     Auteurs : Bertzbach L. D. et al.
     Source : Transboundary and Emerging Diseases

     Date de publication : 18 septembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 29 novembre 2020)

Les auteurs considèrent que le hamster de Chine est un meilleur modèle que le hamster doré pour étudier la COVID-19 : signes cliniques et lésions plus marqués, connaissance de son génome et outils moléculaires disponibles.
 
     Auteurs : Hartman A. L. et al.
     Source : PLOS PATHOGENS

     Date de publication : 18 septembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

L’étude fournit des informations sur la pathogénicité d’un isolat du SARS-CoV-2 inoculé au vervet. Les résultats obtenus conduisent les auteurs à considérer que cet animal constitue un modèle intéressant pour évaluer des vaccins ou des médicaments.
 
     Auteurs : Hassan A. O. et al.
     Source : Cell

     Date de publication : 19 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 février 2021)

Evaluation chez la souris de souche hACE2 de l’efficacité protectrice d’un vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 ayant pour vecteur un adénovirus du chimpanzé.
 
     Auteurs : Cross R. W. et al.
     Source : Virology Journal

     Date de publication : 18 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 29 novembre 2020)

Utilisation du singe grivet comme modèle de la COVID-19, infecté par voies intranasale et intratrachéale avec du SARS-CoV-2 et résultats obtenus.
 
     Auteurs : Chandrashekar A. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 14 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)

Article démontrant expérimentalement que des macaques rhésus guéris de la COVID-19 et soumis à une nouvelle épreuve virulente disposent d’une immunité protectrice contre le SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Yu J. et al.
     Source : Science

     Date de publication : 14 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)

Résultats positifs obtenus après administration d’un candidat vaccin à ADN exprimant différents variants de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 chez des macaques rhésus.
 
     Auteurs : Mercado N. B. et al.  
     Source : Nature

     Date de publication : 30 juillet 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)

Protection conférée chez des macaques rhésus par l’administration d’une seule dose d’un candidat vaccin recombinant à adénovirus exprimant la protéine de spicule du SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : van Doremalen N. et al.  
     Source : Nature

     Date de publication : 30 juillet 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Essai d’un vaccin à adénovirus codant pour la protéine de spicule du SARS-CoV-2 chez des macaques rhésus, conduisant à une charge virale moindre dans les fluides de lavage bronchoalvéolaire et dans le tissu du tractus respiratoire des animaux vaccinés par rapport aux contrôles, avec absence de pneumonie chez les premiers.
 
     Auteurs : Shan C. et al.
     Source : Cell Research

     Date de publication : 7 juillet 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Démonstration de la sensibilité du macaque rhésus au SARS-CoV-2.
 
     Auteurs : Deng W. et al.  
     Source : Science

     Date de publication : 2 juillet 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)

Des anticorps neutralisants dirigés contre le SARS-CoV-2 protégeraient des macaques rhésus une première fois infectés, d’une réinfection durant les premiers jours suivant leur guérison.
 
     Auteurs : Williamson B. N. et al.  
     Source : Nature

     Date de publication : 9 juin 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)

Effets du remdesivir administré à des macaques rhésus infectés par le SARS-CoV-2, du point de vue des signes cliniques, de l’excrétion du virus et des lésions anatomopathologiques.
 
     Auteurs : Bao L. et al.
     Source : Nature

     Date de publication : 7 mai 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Résultats obtenus par injection intranasale du SARS-CoV-2 à une lignée de souris transgéniques exprimant le récepteur cellulaire ACE2 humain.
 
     Auteurs : Bondad-Reantaso M. G. et al.
     Source : Asian Fisheries Science

     Date de publication : 20 avril 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 25 octobre 2020)

L’article développe les arguments disponibles pour affirmer que la probabilité de contamination des animaux aquatiques et de leurs produits par le SARS-CoV-2 est négligeable.
 
     Auteurs : Chan J. F-W. et al.
     Source : Clinical Infectious Diseases

     Date de publication : 26 mars 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)

Arguments scientifiques en faveur de l’utilisation du hamster doré comme modèle pour étudier différents aspects de l’infection par le SARS-CoV-2.
 
 
 

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