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Auteurs : Bienzle D. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 2 mai 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 15 mai 2022)
Enquête virologique et sérologique réalisée en Ontario (Canada) entre avril 2020 et août 2021 chez des chiens et des chats dont le propriétaire avait été récemment atteint par la COVID-19 ainsi que dans des refuges ou cliniques de castration pour animaux de compagnie, et tentative de détermination de facteurs de risque d’infection par le SARS-CoV-2 chez ceux des animaux vivant dans des familles.
Auteurs : Ga E. et al.
Source : Vaccines
Date de publication : 24 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 1er mai 2022)
Mise au point d’un vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 destiné au chien. Il a été conçu à partir de la protéine S1 et du domaine d’attachement au récepteur de la protéine de spicule du virus, c’est à dire la région virale qui active la réponse immunitaire chez l’hôte. Le vaccin a été administré à des beagles en deux doses à trois semaines d’intervalle par voie sous-cutanée, et le taux d’anticorps sériques obtenu était équivalent à celui considéré comme suffisant pour protéger les personnes de la COVID-19.
Auteurs : Wendling N. M. et al.
Source : Zoonoses and Public Health
Date de publication : 14 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 24 avril 2022)
Cet article décrit les manifestations cliniques et la réponse immunitaire différentes observées chez deux chiens atteints par le variant Delta du SARS-CoV-2 après avoir été en contact de façon similaire avec une personne complètement vaccinée mais néanmoins infectée par ce variant. Il souligne l’intérêt d’assurer une surveillance active des infections par différents variants du SARS-CoV-2 chez les animaux de compagnie et les autres types d’animaux.
Auteurs : Sánchez-Morales L. et al.
Source : bioRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 13 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 24 avril 2022)
Recherche en Espagne du variant Omicron du SARS-CoV-2 chez des chiens et des chats dont les propriétaires étaient atteints par la COVID-19. Aucun des animaux infectés n’a présenté des symptômes de maladie et les charges virales détectées sont restées très faibles. En outre, chez ces animaux, l’excrétion d’ARN viral n’a duré que peu de temps. Ces résultats conduisent les auteurs à penser que la virulence de ce variant reste faible chez ces animaux de compagnie.
Auteurs : Oliveira-Filho E. F. (de) et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 5 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 1er mai 2022)
Les auteurs ont étudié la propagation du SARS-CoV-2 chez le chat domestique en testant 547 d’entre eux entre juillet et novembre 2020 dans sept États du Sud, du Sud-Est et du Nord-Est du Brésil. Ils ont observé que la réponse immunitaire due au coronavirus félin (FcoV), qui est enzootique dans le pays, n’influe pas sur l’infection des chats par le SARS-CoV-2.
Auteurs : Zambrano-Mila M. S. et al.
Source : One Health
Date de publication : 5 avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 24 avril 2022)
Mise en évidence de l’infection par le SARS-CoV-2 de trois chiens errants vivant au sein d’une communauté indigène de l’Amazonie équatorienne, elle-même sévèrement atteinte par la COVID-19. Ces chiens ont vraisemblablement été contaminés par des membres de cette communauté. Les auteurs craignent que cette situation ne facilite la transmission du virus à des mammifères sauvages vivant dans la forêt amazonienne.
Auteurs : Barroso-Arévalo S. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication :1er avril 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 1er mai 2022)
Signalement, pour la première fois en Espagne chez un chat, d’un cas d’infection par le variant Delta (B.1.165.2) du SARS-CoV-2. Son propriétaire était infecté par ce virus alors qu’il avait suivi un schéma vaccinal complet contre la COVID-19. Chez ce chat, les symptômes sont restés peu marqués (éternuements), mais une charge virale élevée a été retrouvée dans un prélèvement oro-pharyngé.
Auteurs : Chaber A-L. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 22 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 avril 2022)
Essai d’utilisation en Australie de 15 chiens renifleurs pour différencier des personnes infectées par le SARS-CoV-2 de personnes non infectées en utilisant des prélèvements de sueur d’aisselle collectés dans des centres de soins dans trois pays (Australie, Émirats arabes unis et France). Les résultats de sensibilité et de spécificité de cette méthode de diagnostic sont voisins de ceux obtenus lors des essais de même nature conduits précédemment dans d’autres pays.
Auteurs : Colitti B. et al.
Source : BMC Veterinary Research
Date de publication : 22 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 avril 2022)
Description d’un cas de détresse pulmonaire présenté par une chienne de race bull terrier de trois ans, dont des épreuves de laboratoire ont montré l’infection par le SARS-CoV-2. Les lésions observées chez cette chienne ressemblaient fortement aux séquelles signalées chez des personnes atteintes de COVID-19 après la phase aiguë de la maladie. L’article signale par ailleurs que cette race est prédisposée à faire une fibrose pulmonaire idiopathique, que l’atteinte par le SARS-CoV-2 pourrait avoir favorisée.
DIAGNOSTIC ACCURACY OF NON-INVASIVE DETECTION OF SARS-COV-2 INFECTION BY CANINE OLFACTION
Auteurs : Grandjean D. et al.
Source : medRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 8 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 mars 2022)
Comparaison, dans deux centres de dépistage de l’infection humaine par le SARS-CoV-2 situés à Paris (France), des performances de détection de l’infection par utilisation de chiens renifleurs à partir de prélèvements de sueur d’une part, et par examen de prélèvements nasopharyngés ou salivaires (RT-PCR, test antigénique) d’autre part. Les auteurs pensent que l’utilisation de ces chiens pourrait être une alternative aux tests antigéniques lorsqu’il est nécessaire d’obtenir des résultats rapides en cas de dépistage de masse.
Auteurs : Grandjean D. et al.
Source : Médecine de catastrophe – Urgences collectives
Date de publication : 4 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)
Cet article fait le point sur les recherches conduites par une équipe de l’École nationale vétérinaire d’Alfort (France) pour mettre au point une méthode utilisant des chiens renifleurs permettant de détecter les personnes infectées par le SARS-CoV-2 ainsi que sur les collaborations que cette équipe a établies à l’échelle internationale sur cette thématique.
Auteurs : Adler J. M. et al.
Source : Zoonoses and Public Health
Date de publication : 2 mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 mars 2022)
Les auteurs ont examiné des sérums collectés de janvier à juin 2020 sur des chats en Allemagne et dans plusieurs autres pays européens à l’aide d’épreuves de diagnostic du SARS-CoV-2. Les résultats montrent un pourcentage de résultats positifs tournant autour de 2 %, ce qui est assez bien corrélé aux observations faites dans la population humaine. Les auteurs en concluent que les chats ne jouent au mieux qu’un rôle négligeable dans la transmission du virus.
Auteurs : Mendez A. et al.
Source : International Journal of Infectious Diseases
Date de publication : 1er mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)
Résultats d’une enquête sur le SARS-CoV-2 réalisée dans les familles d’agents de santé ou de personnes atteintes par la COVID-19 possédant des animaux de compagnie. Sur les 38 chiens et 17 chats inclus dans l’enquête, seuls trois chats ont présenté des anticorps dirigés contre le virus.
Auteurs : Neves S. et al.
Source : International Journal of Infectious Diseases
Date de publication : 1er mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)
Résultats d’une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 conduite au Portugal sur 107 chiens et chats présentés dans des centres médicaux vétérinaires entre octobre 2020 et mars 2021. Le pourcentage estimé de chiens exposés au virus s’élevait d’après cette enquête à 5 % et le pourcentage de chats à un peu plus de 2 %.
Auteurs : Pecora A. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 1er mars 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 avril 2022)
Infection naturelle par le SARS-CoV-2 (variant Alpha) de deux chats en Argentine, dont le propriétaire avait précédemment été infecté par ce virus. Du génome viral a été détecté dans des prélèvements oropharyngés et rectaux et son séquençage a révélé que les souches virales ayant infecté le propriétaire et l’un des chats étaient génétiquement très proches. Comparée à la souche humaine, la souche féline ne comportait qu’une mutation supplémentaire, ce qui suggère fortement que le chat a été contaminé par son maître.
Auteurs : Lenz O. C. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 17 février 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 mars 2022)
Détection et séquençage d’une souche du variant Delta du SARS-CoV-2 (souche AY.3) dans des prélèvements fécaux provenant d’un chat dont le propriétaire avait été infecté par le virus. La charge en ARN dans ces prélèvements fécaux s’est révélée relativement élevée. Le séquençage a montré que le virus félin différait de la souche humaine circulant dans le secteur par quelques nucléotides, alors que l’analyse phylogénique a révélé plusieurs mutations propres au chat par comparaison à cette souche humaine.
Auteurs : Grandjean D. et al.
Source : PLOS ONE
Date de publication : 14 février 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 février 2022)
Résultats d’une étude visant à déterminer les valeurs de sensibilité et de spécificité obtenues en utilisant des chiens renifleurs pour détecter des personnes infectées par le SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de sueur axillaire.
Auteurs : Michael H. T. et al.
Source : Journal of Small Animal Practice
Date de publication : 31 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)
Des prélèvements provenant de chiens et de chats présentant une pathologie respiratoire, qui ont été envoyés de février à avril 2019 et 2020 à des laboratoires de référence situés en Amérique du Nord, Asie et Europe, ont été soumis à des épreuves de recherche du SARS-CoV-2 (RT-PCR). Aucune infection par le SARS-CoV-2 des animaux testés n’a été mise en évidence. Les auteurs en concluent qu’au moment de l’émergence de la COVID-19, les cas d’infection des chiens et des chats sont restés rares.
Auteurs : Fritz M. et al.
Source : Veterinary sciences
Date de publication : 27 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 février 2022)
Une recherche d’anticorps dirigés contre le SARS-CoV-2 effectuée en France chez 144 lapins de compagnie soumis à prélèvement sanguin dans des établissements vétérinaires entre novembre 2020 et juin 2021 a révélé que 0,7 à 1,4 % d’entre eux avaient été infectés par ce virus.
Auteurs : Cardillo L. et al.
Source : Microorganisms
Date de publication : 24 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 mars 2022)
Enquête sur la prévalence du SARS-CoV-2 réalisée à l’aide de prélèvements collectés d’avril 2020 à octobre 2021 chez 182 chiens et 313 chats avec propriétaire ou bien errants dans la région de Campanie (Italie). Aucun résultat positif n’a été obtenu avec l’épreuve RT-PCR, et un résultat positif en sérologie n’a été obtenu qu’avec un chien et cinq chats. Parmi ces derniers, il s’agissait principalement de chats dont le propriétaire avait été atteint par la COVID-19.
Auteurs : Grandjean D. et al.
Source : MedRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 12 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 janvier 2022)
Mise au point d’un protocole utilisant des chiens renifleurs pour détecter des personnes à COVID long chez qui de l’ARN et/ou des protéines du SARS-CoV-2 persistent, sans qu’elles aient à quitter leur domicile. Les auteurs discutent des avantages et inconvénients de cette méthode de détection par rapport à l’épreuve RT-PCR.
Auteurs : Jairak W. et al.
Source : Zoonoses and Public Health
Date de publication : 4 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 16 janvier 2022)
Résultats d’une enquête réalisée par RT-PCR et sérologie chez des chiens et des chats domestiques vivant dans les zones à haut risque de COVID-19 pendant la seconde vague de la maladie (février 2021) en Thaïlande.
Auteurs : Imanishi I. et al.
Source : Research Square
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 3 janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 16 janvier 2022)
Résultats d’une enquête conduite au Japon pour rechercher la présence d’anticorps dirigés contre le SARS-CoV-2 chez près de 2 000 chats soumis à prélèvements en juin et juillet 2020 dans une centaine de cliniques vétérinaires. Le pourcentage de chats positifs correspondait à celui existant dans la population humaine générale.
Auteurs : Cano-Gómez C. et al.
Source : International Journal of Infectious Diseases
Date de publication : 1er janvier 2022 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 10 avril 2022)
Description des investigations entreprises (sur l’excrétion virale, l’apparition d’anticorps spécifiques, etc.) sur deux chats infectés par le SARS-CoV-2 par leur maître en Espagne.
Auteurs : Kang K. et al.
Source : Veterinary Medicine and Science
Date de publication : 27 décembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 mars 2022)
Signalement de l’infection de trois chats par le variant Delta du SARS-CoV-2 en septembre 2021 dans la province du Heilongjiang (Rép. pop. de Chine). Ces trois chats appartenaient à une personne atteinte par la COVID-19. Considérant que ces animaux étaient susceptibles de propager le virus à des êtres humains, ils ont été euthanasiés conformément à la réglementation en vigueur dans le pays.
Auteurs : Fernández-Bastit L. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 16 décembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 février 2022)
Description, en Espagne, du premier cas d’infection d’un chien par le variant Delta du SARS-CoV-2. Cet animal vivait dans une famille dont plusieurs membres ont été atteints par la COVID-19. Il n’a présenté que des signes cliniques légers et, à ce moment-là, une faible charge virale dans son système respiratoire supérieur. Les prélèvements collectés une semaine après ont fourni des résultats négatifs.
Auteurs : Gonzales J. L. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 10 décembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)
Essai de quantification du risque de transmission du SARS-CoV-2 de chat à chat en examinant la littérature disponible décrivant les cas de transmission expérimentale et les cas de transmission naturelle à l’intérieur de familles infectées, dans le but d’en déduire un taux de reproduction (R0) dans cette espèce.
Auteurs : Chan T. et al.
Source : Schweizer Archiv für Tierheilkunde
Date de publication : 1er décembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 26 décembre 2021)
Étude suisse de prévalence sur les infections par le SARS-CoV-2 chez les chiens et les chats réalisée en collaboration avec des cliniques d’Allemagne et d’Italie pendant la première vague de la pandémie (mars-juillet 2020), et poursuite de cette étude chez des chiens et des chats vivant dans des familles où des cas de COVID-19 se sont produits.
Auteurs : Carneiro R. L. et al.
Source : Research Square
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 22 novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Cas d’un chat mort d’une infection par le variant préoccupant gamma du SARS-CoV-2 après avoir présenté des symptômes respiratoires aigus sévères. Le virus a été retrouvé dans nombre d’organes autres que l’appareil respiratoire (rate, foie, cœur, reins et intestins). Le fait que ce chat ait aussi été infecté par le virus de la leucose féline peut avoir accentué les effets de la maladie
Auteurs : ten Hagen N. A. et al.
Source : Frontiers in Medicine
Date de publication : 18 novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 1er mai 2022)
Essais portant sur des chiens renifleurs pour étudier dans quelle mesure ils sont capables de différencier chez l’Homme une infection par le SARS-CoV-2 d’atteintes respiratoires dues à d’autres virus. Si cette méthode diagnostique s’est avérée avoir une spécificité élevée, en revanche sa sensibilité s’est révélée plus faible que dans des essais comparables conduits par d’autres chercheurs.
Auteurs : Miró G. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 10 novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 26 décembre 2021)
Description de la dynamique d’infection par le SARS-CoV-2 chez trois chiens (dont deux présentant des signes respiratoires frustes) et un chat (atteint de pneumonie sévère) appartenant à des familles où des cas de COVID-19 se sont produits au moment de la diffusion du variant alpha du virus (lignée B.1.1.7) dans la région de Madrid (Espagne).
First cases of SARS-CoV-2 infection in dogs and cats in Thailand
Auteurs : Jairak W. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 5 novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Suivi de chiens et des chats dont les propriétaires ont été infectés par le SARS-CoV-2 et qui ont été mis en quarantaine dans des hôpitaux vétérinaires privés pendant la troisième vague de COVID-19 en Thaïlande (mars - mai 2021). Peu d’animaux se sont révélés infectés et un seul a manifesté des signes respiratoires légers.
Auteurs : Ferasin L. et al.
Source : VetRecord
Date de publication : 4 novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Description au Royaume-Uni d’une série de cas d’infection de chiens et de chats par le variant préoccupant B.1.1.7 du SARS-CoV-2 qui présentaient des signes de myocardite sans atteinte préalable de l’appareil respiratoire. La plupart de leurs maîtres avaient été atteints par la COVID-19 trois à six semaines auparavant.
Auteurs : Barroso-Arévalo S. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 1er novembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Résultats d’une enquête sur le SARS-CoV-2 conduite à grande échelle en Espagne chez des chiens et des chats en contact avec des personnes atteintes par la COVID-19 ou présentant des symptômes évoquant cette maladie, et d’autres pris au hasard. Très peu d’animaux ont présenté un résultat positif aux épreuves de laboratoire réalisées
Auteurs : Medkour H. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 27 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Première description en France d’un cas d’infection d’un chien par le variant préoccupant B.1.160 (variant Marseille-4) du SARS-CoV-2, dans un foyer où un homme et une femme ont été atteints par la COVID-19.
Auteurs : Fritz M. et al.
Source : Veterinary Medicine and Science
Date de publication : 26 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Étude apportant des informations complémentaires sur les volets clinique, moléculaire et sérologique de l’infection des chats par le SARS-CoV-2.
Auteurs : Schulz C. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 25 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Résultats d’une enquête sérologique pour la recherche du SARS-CoV-2 en utilisant des prélèvements effectués sur plus de 2 000 chats dans quatre pays (Allemagne, Espagne, Italie et Royaume-Uni) pendant la première vague de COVID-19 en Europe (avril – juin 2020).
Auteurs : Lee D-H. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 23 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Description d'un cas sévère d'infection par le SARS-CoV-2 chez un chien du Connecticut (États-Unis d’Amérique) et résultats des investigations conduites pour déterminer le variant du virus en cause.
Auteurs : Chetboul V. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 21 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Première description complète en France d’un cas de myocardite associée à une infection par le SARS-CoV-2 chez un chat médicalement suivi pendant six mois, dont le maître est soupçonné d’avoir été préalablement infecté sans pour autant avoir présenté de symptômes.
Auteurs : Maia R. C. C. et al.
Source : Frontiers in Public Health
Date de publication : 21 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)
Étude brésilienne sur la performance de deux chiens renifleurs pour détecter l’atteinte de personnes par la COVID-19 à partir d’échantillons de sueur axillaire, par comparaison à l’épreuve RT-PCR appliquée à des prélèvements naso- et oropharyngés effectués sur ces mêmes personnes.
Near-Complete Genome of SARS-CoV-2 Delta (AY.3) Variant Identified in a Dog in Kansas, USA
Auteurs : Doerksen T. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 19 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Les auteurs signalent le premier cas d’un chien infecté par le variant delta du SARS-CoV-2 et discutent de l’importance de diverses mutations constatées, dont la mutation M1227L du gène de spicule qui pourrait revêtir une particulière importance pour l’adaptation rapide de ce variant au chien.
Auteurs : Kontos E. et al.
Source : bioRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 18 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Les auteurs ont entraîné avec succès des abeilles (Apis mellifera) à identifier des visons (Neovison vison) infectés par le SARS-CoV-2 sur la base d’un protocole de conditionnement pavlovien (réflexe d’extension du proboscis, couramment appelé la trompe) vis-à-vis de la modification du profil en composés organiques volatiles émis par ceux-ci.
Determining the role of natural SARS-CoV-2 infection in the death of domestic pets: 10 cases (2020–2021)
Auteurs : Carpenter A. et al.
Source : JAVMA
Date de publication : 15 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Mise au point aux États-Unis d’Amérique d’une méthodologie pour déterminer le rôle de l’infection par le SARS-CoV-2 chez les animaux de compagnie à partir des 10 premiers chiens et chats présentés en consultation dans un cabinet vétérinaire qui ont présenté un résultat positif à la recherche de cette infection et qui sont morts ou bien ont dû être euthanasiés (mars 2020 – janvier 2021).
Auteurs : Yilmaz A. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 12 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Résultats d’une enquête sérologique pour la recherche du SARS-CoV-2 réalisée chez des chats de la ville d’Istanbul (Turquie) présentés en consultation à la faculté vétérinaire avant et pendant la pandémie de COVID-19.
Auteurs : Pomorska-Mól M. et al.
Source : BMC Veterinary Research
Date de publication : 7 octobre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 février 2022)
Étude rétrospective sur la présence d’anticorps dirigés contre le SARS-CoV-2 chez 343 chiens, 279 chats et 29 lapins domestiques pendant les vagues pandémiques de COVID-19 survenues en Pologne. Entre 1 et 2 % des chiens et des chats étaient séropositifs ; en revanche tous les lapins se sont révélés négatifs.
Auteurs : Vesga O. et al.
Source : PLOS ONE
Date de publication : 29 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Les auteurs montrent que l’utilisation en Colombie de chiens renifleurs dans des conditions maîtrisées permet de discriminer très efficacement et rapidement les personnes infectées par le SARS-CoV-2 de celles qui sont saines, mais constatent aussi que dans « la vraie vie » le nombre de faux positifs peut s’avérer très élevé (faible valeur prédictive d’un résultat positif).
Auteurs : Yaglom H. D. et al.
Source : One Health
Date de publication : 29 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Dans le cadre d’un programme conduit en Arizona (États-Unis d’Amérique) visant à mesurer l’impact du SARS-CoV-2 sur les animaux de compagnie dans des foyers où des cas de COVID-19 chez des personnes ont été confirmés, l’infection d’un chien et d’un chat par le SARS-CoV-2 (lignage B.1.575) a été mise en évidence sans que ceux-ci présentent le moindre symptôme.
Auteurs : Ito G. et al.
Source : Journal of Veterinary Medical Science
Date de publication : 24 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 octobre 2021)
Enquête sérologique pour la recherche de l’infection par le SARS-CoV-2 réalisée au Japon dans la région de Tokyo à partir d’échantillons sanguins prélevés sur des chiens entre juillet 2020 et janvier 2021. Seuls trois chiens ont présenté un résultat positif à l’épreuve ELISA et un seul à l’épreuve de neutralisation virale.
Auteurs : Han T. et al.
Source : One Health
Date de publication : 17 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 3 octobre 2021)
Un foyer de COVID-19 étant apparu dans un établissement religieux de la Corée du Sud en janvier-février 2021, le suivi de trois chats y a été assuré. Si l’un d’entre eux a été infecté par le SARS-CoV-2, aucune transmission de ce virus de chat à chat où du chat à une personne n’a été mise en évidence.
Auteurs : Schiaffino F. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 17 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Pour la première fois au Pérou (Lima), il a été confirmé grâce à des prélèvements pharyngés que des chats présentés dans une clinique vétérinaire avec des symptômes respiratoires et gastro-intestinaux étaient infectés par le variant Lambda du SARS-CoV-2. Ces chats vivaient dans des familles où des cas de COVID-19 avaient été signalés.
Auteurs : Goryoka G. W. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 12 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Résultats d'une enquête réalisée en avril et mai 2020 chez les chiens et chats de 34 familles de l'Utah et du Wisconsin (USA) où des cas humains de COVID-19 ont été confirmés. A partir de ces animaux ont ainsi été pratiqués des examens par RT-PCR et épreuve de neutralisation virale sur des prélèvements sanguins, nasaux, oropharyngés, fécaux et de fourrure.
Auteurs : Cossaboom C. M. et al.
Source : Biology
Date de publication : 11 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 26 septembre 2021)
Résultats d’une enquête sérologique réalisée chez des chiens et des chats maintenus dans quatre refuges des États-Unis d’Amérique qui ont été en contact au sein de ces structures avec des soigneurs dont l’infection par le SARS-CoV-2 a été confirmée. Seul un chien s’est révélé posséder des anticorps neutralisants dirigés contre le virus.
Auteurs : Keller M. et al.
Source : Research in Veterinary Science
Date de publication : 9 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 26 septembre 2021)
Premier cas complètement documenté de SARS-CoV-2 dû au variant B.1.1.7 signalé en Allemagne chez un chat malade dont le propriétaire présentait lui-même des symptômes de COVID-19.
Auteurs : Rivero R. et al.
Source : Research Square
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 7 septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 26 septembre 2021)
L’article signale la première transmission du variant iota du SARS-CoV-2 d’un être humain à des chiens (avec apparition de symptômes chez ces derniers) en Amérique latine. Les auteurs recommandent que tout contact rapproché entre personnes infectées par le virus et animaux de compagnie soit évité afin de prévenir l’apparition de nouvelles mutations significatives en matière de santé publique.
Auteurs : Decaro N. et al.
Source: Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 1er septembre 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)
Suivi sur plusieurs mois de la persistance des anticorps spécifiques au SARS-CoV-2 chez un petit nombre de chiens et de chats infectés.
Auteurs : Jara L. M. et al.
Source : One Health
Date de publication : 26 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)
Recherche d’anticorps neutralisants dirigés contre le SARS-CoV-2 chez des chats vivant dans des communautés humaines fortement infectées à Lima (Pérou).
Auteurs : van der Leij W. J. R. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 18 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 12 septembre 2021)
Résultats d’une enquête sérologique et virologique réalisée pendant la deuxième vague de COVID-19 aux Pays-Bas sur des échantillons prélevés chez des chats détenus dans des refuges répartis en différents endroits du territoire. Très peu de chats ont présenté des anticorps dirigés contre le SARS-CoV-2.
Auteurs : Račnik J. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 10 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 août 2021)
Cas de transmission du SARS-CoV-2 d’un propriétaire à son furet détenu comme animal de compagnie au sein d’une famille de Slovénie.
Auteurs : Barua S. et al.
Source : Emerging Microbes & Infections
Date de publication : 10 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 août 2021)
Résultats d’une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 utilisant des sérums de chiens et de chats prélevés en 2020 dans 48 États des États-Unis d’Amérique pour le titrage des anticorps rabiques.
Auteurs : Smith S. L. et al.
Source : Current Research in Virological Science
Date de publication : 5 août 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 août 2021)
Résultats de la première étude sérologique sur le SARS-CoV-2 conduite à grande échelle au Royaume-Uni chez les chiens et les chats à partir de sérums collectés pour des examens hématologiques de routine à trois périodes : avant l’émergence de la COVID-19 (janvier 2020), pendant la première vague de la maladie dans la population humaine (avril-mai 2020) et pendant la deuxième vague (septembre 2020 – février 2021).
Auteurs : Curukoglu A. et al.
Source : Australian Veterinary Journal
Date de publication : 29 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)
Etude rapportant pour la première fois une transmission directe d’un homme à un chat vivant sous le même toit, du variant B.1.1.7 du SARS-CoV-2.
Auteurs : Jendrny P. et al.
Source : BMC Infectious Diseases
Date de publication : 27 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)
Entraînement de dix chiens à détecter l'infection par le SARS-CoV-2 à l'aide d'échantillons de salive ayant subi une inactivation par la bêta-propiolactone, puis mesure, par épreuve en double aveugle, de la capacité de ces chiens à reconnaître la présence du virus dans des prélèvements non inactivés de salive, d'urine et de sueur humaines.
Auteurs : Klaus J. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 26 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 5 septembre 2021)
Résultats d’une enquête par RT-PCR menée chez 877 chiens et 260 chats pour la recherche d’une infection par le SARS-CoV-2 dans sept cliniques vétérinaires du sud de l’Allemagne et du nord de l’Italie pendant la première vague de la pandémie de COVID-19 (de mars à mai 2020). Très peu d’animaux se sont révélés positifs, montrant que le risque zoonotique encouru par le personnel vétérinaire est resté faible pendant cette première vague.
Auteurs : Stevanovic V. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 22 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)
Résultat des investigations menées en Croatie sur deux populations de chiens au regard du SARS-CoV-2 : des chiens présentés à l’école vétérinaire pour une quelconque raison et d’autres hébergés dans des familles où des cas humains de COVID-19 ont été confirmés.
Auteurs : Laidoudi Y. et al.
Source : One Health
Date de publication : 18 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 août 2021)
Résultats d’une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 (ELISA, Western blot automatisé) conduite dans différents départements français chez des chiens à partir de prélèvements collectés avant et pendant la pandémie de COVID-19 dans la population humaine.
Auteurs : Vlachová L. et al.
Source : medRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 16 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 25 juillet 2021)
Entraînement en République tchèque de chiens à la détection de cas humains de COVID-19 à partir des odeurs corporelles ou respiratoires recueillies sur des personnes hospitalisées.
Auteurs : Lauzi S. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 13 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 août 2021)
Cette étude visait à vérifier si les chiens et les chats pouvaient jouer le rôle de vecteurs passifs du SARS-CoV-2 lorsqu’ils vivent en contact étroit avec des personnes atteintes de la COVID-19. A cette fin, des prélèvements cutanés et interdigités ont été collectés chez 48 chiens et 15 chats et soumis à une épreuve de RT-PCR. Tous les résultats obtenus ont été négatifs.
Auteurs : Zhang Z. et al.
Source : Nature Communications
Date de publication : 7 juillet 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 janvier 2022)
Étude fine de l’interface entre le domaine d’attachement au récepteur de la protéine de spicule du SARS-CoV-2 et le récepteur ACE2 du chien. Les auteurs montrent aussi le rôle pivot joué par certaines mutations dans la force de cette liaison.
Auteurs : Udom K. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 28 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)
Résultats d'une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 conduite chez des chiens et des chats en Thaïlande d'avril à décembre 2020, période de la première et la deuxième vague de COVID-19 dans le pays.
Auteurs : Stranieri A. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 25 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)
Résultats d'une enquête relative au SARS-CoV-2 (recherche d'ARN et d'anticorps dirigés contre le virus) conduite sur des chats libres appartenant à des colonies vivant dans un district de la province de Lodi (Italie), là où l'épidémie de COVID-19 est apparue dans la population humaine et y a sévi avec une forte incidence.
Auteurs : Angeletti S. et al.
Source : Journal of Medical Virology
Date de publication : 21 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)
Description du protocole d’entraînement de chiens renifleurs mis en œuvre au centre hospitalier universitaire de Rome (Italie) pour détecter les personnes infectées par le SARS-CoV-2.
Auteurs : D’Aniello B. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 21 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Les auteurs passent en revue les difficultés pratiques et les problèmes éthiques qui existent dans l’utilisation de chiens renifleurs pour repérer les personnes infectées par la COVID-19.
Auteurs : Dileepan M. et al.
Source : Virulence
Date de publication : 14 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 juin 2021)
Résultats d'une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 ayant porté sur 239 chats et 510 chiens de compagnie dans l'État du Minnesota (États-Unis d'Amérique) de mi-avril à début juin 2020, alors que la pandémie de COVID-19 dans la population humaine y était à son début.
Auteurs : Gortázar C. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 12 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)
Étude sur le SARS-CoV-2 conduite chez 71 furets utilisés pour la chasse dans la province de Ciudad Real (Espagne centrale), qui amène à conclure que l’infection de ces animaux peut intervenir lorsque la circulation virale est élevée dans la population humaine, mais que de telles populations réduites de furets sont incapables de maintenir par elles-mêmes une circulation virale prolongée.
Auteurs : Hag-Ali M. et al.
Source : Communications Biology
Date de publication : 3 juin 2021 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 juin 2021)
Sur la base des résultats obtenus en utilisant des chiens renifleurs aux Émirats arabes unis, les auteurs considèrent que ces animaux permettent de mieux détecter les personnes asymptomatiques infectées par le SARS-CoV-2 que l’utilisation de la RT-PCR.
Auteurs : van Aart A. E. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 3 juin 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 juin 2021)
L’étude fournit des informations sur le statut sanitaire de chats (domestiques ou libres) et de chiens présents dans 10 élevages de visons infectés par le SARS-CoV-2. Elle montre qu’une transmission directe du virus a pu se produire entre visons et chats sans passer par l’intermédiaire d’une personne.
Auteurs : Michelitsch A. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 27 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 juin 2021)
Résultats d'une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 ayant porté sur plus de 1 100 chats en Allemagne de septembre 2020 à février 2021, qui montre un doublement des chats positifs par rapport à une enquête antérieure, à un moment où était notée une augmentation des cas d'infection dans la population humaine.
Auteurs : Schulz C. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 26 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 juin 2021)
Suivi sanitaire de trois chats vivant dans une maison de retraite située en Allemagne où plusieurs épisodes de COVID-19 se sont produits parmi les résidents. Seul l’un de ces chats a été infecté par le SARS-CoV-2 sans que celui-ci manifeste le moindre symptôme et ne joue le moindre rôle dans la propagation du virus aux résidents.
Auteurs : Guest C. et al.
Source : LSHTM
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 24 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 juin 2021)
Après étude du profil organique des composés organiques volatiles (COV) contenus dans l’air expiré par des personnes saines et d’autres atteintes par la COVID-19, des chiens renifleurs ont été soumis à un essai en double aveugle pour déterminer leur capacité à détecter des différences entre les COV de ces deux groupes de personnes, afin de calculer la sensibilité et la spécificité de ce système de diagnostic canin et, par modélisation mathématique, d’estimer l’apport qui pourrait en être tiré pour le dépistage.
Auteurs : Hamer S. A. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 19 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 27 juin 2021)
Etude longitudinale conduite au Texas, par RT-PCR, séquençage du génome et sérologie, sur des chiens et des chats vivant dans des familles où au moins une personne a été infectée par le SARS-CoV-2.
Auteurs : Sánchez-Montes S. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 16 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 30 mai 2021)
L’objectif de cette recherche était de détecter la présence du SARS-CoV-2 chez des chiens et des chats dans l’État de Veracruz au Mexique, où la transmission du virus dans la population humaine est importante. Tous les résultats des épreuves réalisées sur 130 prélèvements d’animaux ayant été en contact avec des cas humains avérés de COVID-19 se sont révélés négatifs.
Auteurs : Decaro N. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 12 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 mai 2021)
Suivi de l’infection d’un chien par le SARS-CoV-2 dans une famille italienne dont plusieurs membres ont été atteints par la COVID-19.
Auteurs : Colitti B. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 11 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 mai 2021)
Résultats d’une enquête sérologique conduite en Italie avec l’aide de vétérinaires praticiens chez des chiens et des chats dont les détenteurs ont été infectés par le SARS-CoV-2.
Auteurs : Hamer S. A. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 6 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 16 mai 2021)
Une étude longitudinale de suivi conduite au Texas (Etats-Unis) sur des animaux de compagnie vivant dans des familles où des cas de COVID-19 se sont produits a révélé l’infection d’un chien et un chat par le variant B.1.1.7 du SARS-CoV-2. C’est la première fois que ce variant a été mis en évidence chez un animal.
Auteurs : Grandjean D. et al.
Source : Open Access Journal of Veterinary Science & Research
Date de publication : 4 mai 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 août 2021)
Résultats obtenus en évaluant le flair de 21 chiens appartenant aux ministères de l’intérieur des différents émirats des Emirats arabes unis pour la détection de la COVID-19 à partir de sueur humaine.
Auteurs : Calvet G. A. et al.
Source : PLOS ONE
Date de publication : 28 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)
Étude de l’exposition au SARS-CoV-2, de l’état infectieux et de la persistance du virus chez des chiens et des chats vivant à Rio de Janeiro (Brésil) dans des familles où des personnes ont été infectées par le virus, et suivi des modifications cliniques et biologiques associées à l’infection animale.
Auteurs : Chaintoutis S. C. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 28 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)
Suivi par différentes méthodes de laboratoire de deux chats infectés par le SARS-CoV-2 alors que leur propriétaire présentait des signes cliniques de COVID-19.
Auteurs : Meisner J. et al.
Source : bioRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 26 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 2 mai 2021)
Suivi sanitaire de chiens (signes cliniques, PCR sur prélèvements nasopharyngés, sérologie) entretenus dans des foyers de deux États américains où au moins un cas humain de COVID-19 a été détecté, et mise en évidence de deux facteurs susceptibles de favoriser la transmission du virus responsable des détenteurs à leurs animaux : nombre de cas de COVID-19 dans la maisonnée et accueil du chien dans le lit.
Auteur : Hosie M. J. et al.
Source : VetRecord
Date de publication : 22 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 juin 2021)
Suivi de deux chats appartenant à des familles du Royaume-Uni où la COVID-19 s’est manifestée, qui se sont révélés infectés par le SARS-CoV-2 d’origine humaine.
Auteurs : Sawatzki K. et al.
Source : PNAS
Date de publication : 15 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)
Les auteurs montrent qu’il existe chez les furets une barrière d’espèce qui limite l’infection et la transmission naturelles du SARS-CoV-2, en en donnant pour preuve l’absence de contamination de 29 furets par deux adultes à leur contact dont l’un présentait des symptômes de COVID-19 et l’autre était suspect, et en démontrant l’existence de facteurs génétiques chez ces animaux qui leur confèrent une résistance naturelle au virus.
Auteurs : Essler J. L. et al.
Source : PLOS ONE
Date de publication : 14 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 25 avril 2021)
Cette étude a visé à déterminer si des chiens entraînés étaient à même de discriminer des patients infectés par le SARS-CoV-2 de patients qui ne l’étaient pas, à partir de prélèvements de leurs urines ayant subi un traitement d’inactivation, et aussi de voir si ces mêmes chiens pouvaient détecter la présence du virus dans des prélèvements salivaires traités par la chaleur provenant de patients hospitalisés du fait de la COVID-19.
Auteurs : Gaudreault N. N. et al.
Source : Emerging Microbes & Infections
Date de publication : 2 avril 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)
Par différentes méthodes de suivi, les auteurs examinent si des chats déjà exposés une première fois au SARS-CoV-2 peuvent être infectés une seconde fois et transmettre dans ce cas-ci le virus à leurs congénères.
Auteurs : Dias H. G. et al.
Source : PLOS ONE
Date de publication : 25 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 4 avril 2021)
Résultat des analyses de laboratoire (RT-PCR et PRNT) conduites de juin à août 2020 à Rio de Janeiro (Brésil) sur des chiens et des chats avec propriétaires ainsi que des chiens et des chats errants.
Auteurs : Zhao S. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 24 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 4 avril 2021)
Résultats d’une enquête sérologique relative au SARS-CoV-2 conduite aux Pays-Bas sur 500 chiens et chats en avril et mai 2020.
Auteurs : Zaeck L. M. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 23 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)
Description des zones d’infection par le SARS-CoV-2 dans le tractus respiratoire du furet par une technique déclarée comme nouvelle par les auteurs : l’imagerie tridimensionnelle par immunofluorescence (volumetric three-dimensional immunofluorescence imaging).
Auteurs : Ferasin L. et al.
Source : bioRxiv
Date de soumission en vue de publication (article en cours d’évaluation) : 18 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 28 mars 2021)
Première description de chiens et de chats infectés par le variant britannique du SARS-CoV-2 à partir de leurs maîtres. Ces animaux de compagnie, des environs de Londres (Royaume-Uni), ont manifesté des symptômes de cardiopathie atypiques mais sans signe respiratoire préalable.
Auteurs : Klaus J. et al.
Source : Viruses
Date de publication : 17 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 19 décembre 2021)
Description des recherches conduites sur deux chats vivant avec des personnes atteintes par la COVID-19 en Suisse. L’un de ces chats a manifesté des signes respiratoires dus à son infection par le SARS-CoV-2 et, fait intéressant, de l’ARN viral a été retrouvé non seulement sur les prélèvements buccaux, nasaux et fécaux effectués sur lui mais aussi sur sa fourrure ainsi que sur son matériel de couchage.
Auteurs : Kutter J. S. et al.
Source : Nature Communications
Date de publication : 12 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)
Grâce à un nouveau dispositif expérimental, les auteurs ont démontré que tant le SARS-CoV que le SARS-CoV-2 peuvent être transmis entre furets à plus d’un mètre de distance par voie aérienne.
Auteurs : Villanueva-Saz S. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 9 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)
En vue de révéler la possible circulation du SARS-CoV-2 et d'autres agents pathogènes parmi les chats libres de la ville de Saragosse (Espagne), des prélèvements sanguins ont été collectés sur 114 de ces animaux entre janvier et octobre 2020. Quatre chats ont fourni un résultat positif à la recherche du SARS-CoV-2 par la technique ELISA.
Auteurs : Eskandari E. et al.
Source : BMC Infectious Diseases
Date de publication : 5 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 28 mars 2021)
Etude destinée à examiner la possibilité d’utiliser le flair de chiens pour détecter les personnes atteintes de COVID-19 ou porteuses du SARS-CoV-2.
Auteurs : Neira V. et al.
Source : Emerging Microbes & Infections
Date de publication : 5 mars 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 mars 2021)
Description de l’infection par le SARS-CoV-2 chez deux personnes adultes et trois chats vivant sous le même toit, par RT-PCR, ELISA, séquençage viral et isolement viral.
Auteurs : Braun K. M. et al.
Source : PLOS PATHOGENS
Date de publication : 26 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 mars 2021)
En prenant le chat pour modèle, les auteurs s’intéressent aux mécanismes d’évolution par lesquels le SARS-CoV-2 s’adapte aux mammifères hôtes, et considèrent les goulots d’étranglement (réduction significative de la population virale durant la transmission) qui influent sur la vitesse d’adaptation du virus à ses hôtes.
Auteurs : Pagani G. et al.
Source : Pathogens
Date de publication : 23 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 juillet 2021)
Description d'un cas de transmission du SARS-CoV-2 entre un soignant et son chat, et analyse du génome viral complet à partir de prélèvements nasopharyngés collectés sur les deux sujets.
Auteurs : Monchatre-Leroy E. et al.
Source : Journal of General Virology
Date de publication : 19 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)
Cette étude décrit les observations faites après infection intranasale de furets et de hamsters avec de faibles doses de l’isolat français UCN19 du SARS-CoV-2.
Auteurs : Perisé-Barrios A. J. et al.
Source : Veterinary Research
Date de publication : 15 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 mars 2021)
Suivi de 40 chiens à maladie respiratoire, dans le contexte de l’épidémie de COVID-19 en Espagne. Si des anticorps (IgG) ont été mis en évidence chez certains chiens, aucune RT-PCR positive n’a été obtenue par les auteurs, même chez les chiens les plus sévèrement atteints.
Auteurs : Decaro N. et al.
Source : Frontiers in Veterinary Science
Date de publication : 10 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 30 mai 2021)
En passant en revue les connaissances acquises à fin 2020, les auteurs constatent que les chiens et les chats ne jouent pas de rôle actif dans la transmission du SARS-CoV-2 à l’Homme, mais qu’ils peuvent être infectés par ce virus à la suite de contacts rapprochés avec des personnes atteintes.
Auteurs : Zhao Y. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 7 février 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 9 mai 2021)
Enquête sérologique réalisée de janvier à septembre 2020 sur 910 chiens de différentes catégories (abandonnés, animaux de compagnie dans des hôpitaux, appartenant à des familles où des cas de COVID-19 sont apparus, ou utilisés par la police) à Wuhan (République populaire de Chine) au cours de la pandémie survenue dans cette municipalité.
Auteurs : Chiba S. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 7 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 17 janvier 2021)
Les auteurs montrent que les chats peuvent guérir d’une infection par le SARS-CoV-2, mais que subsistent chez eux une inflammation et des lésions pulmonaires sans qu’ils manifestent des signes cliniques.
Auteurs : Kim Y-I. et al.
Source : Emerging Microbes & Infections
Date de publication : 7 janvier 2021 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 17 janvier 2021)
Les auteurs ont examiné chez le furet le lien pouvant exister entre titres en anticorps sériques et réinfection par le SARS-CoV-2. Chez les animaux ayant un titre élevé, ils ont constaté une faible réplication virale, une élimination rapide du virus et des processus inflammatoires limités. La transmission virale directe à des congénères ne se produit qu’avec les animaux à titre faible.
Auteurs : Michelitsch A. et al.
Source : Vaccines
Date de publication : 17 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 14 mars 2021)
Résultats d’une grande enquête conduite en Allemagne entre avril et septembre 2020 sur la présence d’anticorps dirigés contre le SARS-CoV-2 dans la population de chats domestiques, en vue d’évaluer la fréquence de transmission du virus de l’Homme au chat.
Auteurs : Grandjean D. et al.
Source : PLOS ONE
Date de publication : 10 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 20 décembre 2020)
Cette étude limitée montre que des chiens entraînés ont la capacité de différencier des prélèvements de sueur provenant d’individus présentant des symptômes de COVID-19 ainsi qu’une épreuve PCR positive, de ceux collectés sur des individus asymptomatiques et à PCR négative.
Auteurs : Patterson E. I. et al.
Source : Nature Communications
Date de publication : 4 décembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 11 avril 2021)
Étude à grande échelle portant sur le statut virologique et sérologique vis-à-vis du SARS-CoV-2 de chiens et chats détenus dans des familles vivant en Italie du Nord.
Auteur : Else H.
Source : Nature
Date de publication : 23 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)
Revue des connaissances sur la capacité des chiens à reconnaître par leur flair la COVID-19 chez des personnes malades.
Auteurs : Stevanovic V. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 15 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 13 décembre 2020)
Résultats d’une enquête sérologique conduite en Croatie sur des chiens et des chats dans un établissement d’enseignement vétérinaire de Zagreb et deux cabinets vétérinaires et d’une autre intéressant le personnel de la faculté de médecine vétérinaire de Zagreb.
Auteurs : Fritz M. et al.
Source : One Health
Date de publication : 4 novembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)
Les auteurs présentent les résultats d’une enquête sérologique sur le SARS-CoV-2 conduite chez des chiens et des chats en mai et juin 2020 en Franche-Comté et en Rhône-Alpes. Ils montrent également l’absence de réaction croisée avec la péritonite infectieuse féline.
Auteurs : Gaudreault N. N. et al.
Source : Emerging Microbes & Infections
Date de publication : 25 octobre 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 15 novembre 2020)
Les auteurs ont infecté expérimentalement par voie orale et nasale des chats âgés de 4-5 mois, puis mis d'autres jeunes chats à leur contact. Ils ont assuré pendant 21 jours post-infection divers suivis (signes cliniques, recherche du virus dans divers prélèvements, anatomo-pathologie, examens sérologiques). Tous les chats possédaient des anticorps neutralisants aux jours 7 et 10 post-infection, mais ils n'ont manifesté à aucun moment des signes cliniques dans le cours de l'expérimentation.
Auteurs : Barrs V. R. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 30 septembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)
Recherche de l’ARN du SARS-CoV-2 dans des échantillons respiratoires et fécaux de 50 chats en contact étroit avec des familles infectées habitant à Hong Kong.
Auteurs : Bosco-Lauth A. M. et al.
Source : PNAS
Date de publication : 29 septembre 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 18 octobre 2020)
L’article décrit une étude pilote visant à tester la sensibilité de chats et chiens domestiques vis-à-vis du SARS-CoV-2. Seuls les chats ont excrété le virus et l’ont transmis à des congénères. Les chats réinfectés expérimentalement ont montré une immunité solide.
Auteurs : Perisé-Barrios A. J. et al.
Source : bioRxiv
Date de publication : 22 septembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 4 octobre 2020)
Suivi de 40 chiens à maladie respiratoire, dans le contexte de l’épidémie de COVID-19 en Espagne. Si des anticorps (IgG) ont été mis en évidence chez certains chiens, aucune RT-PCR positive n’a été obtenue par les auteurs, même chez les chiens les plus sévèrement atteints.
Auteurs : Zhang Q. et al.
Source : Emerging Microbes & Infections
Date de publication : 17 septembre 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 22 novembre 2020)
Suivi sérologique par ELISA de chats entretenus dans la ville de Wuhan (République populaire de Chine), montrant que certains de ces animaux ont été infectés par le SARS-CoV-2 durant la pandémie de COVID-19.
Auteurs : Temmam S. et al.
Source : One Health
Date de publication : 29 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)
L’article rapporte l’absence d’anticorps chez les chiens et les chats détenus par un groupe d’étudiants vétérinaires atteints par la COVID-19.
Auteurs : Ruiz-Arrondo I. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases
Date de publication : 18 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 novembre 2020)
Parmi 23 animaux de compagnie appartenant à des propriétaires atteints par la COVID-19 en Espagne, des résultats positifs à la RT‐qPCR ont été obtenus à partir d’échantillons oropharyngés prélevés sur un chat ne présentant pas de symptômes, ce qui amène à considérer que des chats en contact avec une personne atteinte peuvent être infectés par le SARS-CoV-2.
Auteurs : Garigliany M. et al.
Source : Emerging Infectious Diseases
Date de publication : 15 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)
Investigations menées sur un chat ayant manifesté une maladie respiratoire sévère, alors que des examens de laboratoire avaient montré une semaine auparavant que son maître était atteint par la COVID-19.
Auteur : Grimm D.
Source : ScienceMag.org
Date de publication : 14 août 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 août 2020)
L’article fait le point sur ce qu’on peut dire à ce jour de l’infection des chiens et des chats par le SARS-CoV-2 et met l’accent sur les questions qui restent encore sans réponse.
Auteurs : Jendrny P. et al.
Source : BioMed Central Infectious Diseases
Date de publication : 23 juillet 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 6 décembre 2020)
Résultats préliminaires indiquant que des chiens renifleurs peuvent repérer les individus malades de la COVID-19 en utilisant pour échantillons à tester des sécrétions respiratoires.
Auteurs : Richard M. et al.
Source : Nature Communications
Date de publication : 8 juillet 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 novembre 2020)
Il est ici démontré expérimentalement que le SARS-CoV-2 est efficacement transmis entre des furets par contact direct et par voie aérienne (gouttelettes respiratoires et/ou aérosols) respectivement un à trois jours et trois à sept jours après exposition au virus.
Auteurs : Saegerman C. et al.
Source : Transboundary and Emerging Diseases - 2020 Jul 11.
Date de publication : 6 juillet 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 2 août 2020)
Auteurs : Stout A. E. et al.
Source : Veterinary Microbiology
Date de publication : le 23 juin 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 23 août 2020)
Les auteurs passent en revue les cas d’infection par le SARS-CoV-2 du chat, du furet et du chien. Ils décrivent les relations entre ce virus et les coronavirus « naturels » connus pour infecter ces espèces, et discutent de leur sensibilité relative sur la base du récepteur ACE-2.
Auteur : Escalon S.
Source : CNRS Le Journal
Date de publication : 19 juin 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteur : Scanelis
Source : La Dépêche vétérinaire
Date de publication : 11 juin 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteurs : Sailleau C. et al.
Source : Transbound Emerg Dis. 2020 Jun 5;10.1111/tbed.13659.
Date de publication : 5 juin 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteur : ProMED
Source : ProMED
Date de publication : 2 juin 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteurs : Bosco-Lauth A.M. et al.
Source : bioRxiv preprint
Date de publication : 28 mai 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteurs : Shi J. et al.
Source : Science. 2020 May 29;368(6494):1016-1020.
Date de publication : 28 mai 2020 (preprint bioRxiv : 30 mars 2020) - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteurs : Sit T.H.C. et al.
Source : Nature
Date de publication : 14 mai 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteurs : Halfmann P.J. et al.
Source : The New England Journal of Medicine
Date de publication : 13 mai 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 7 juillet 2020)
Auteur : Risk Assessment Group-COVID-19 Animals (Belgique)
Source : RAGCA
Date de publication : 11 mai 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 novembre 2020)
Le groupe d’évaluation belge passe en revue les connaissances sur la capacité que pourraient présenter des « chiens renifleurs » à détecter des personnes infectées par le SARS-CoV-2. Il constate l’absence de résultats probants sur ce point (au moment de l’établissement du rapport).
Auteur : Parry N.M.A.
Source : Forensic Science International: Reports
Date de publication : 11 avril 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 novembre 2020)
Bien que rien ne démontre que les animaux de compagnie puissent transmettre le SARS-CoV-2 à l’être humain, nombre de personnes ont craint qu’ils jouent un rôle dans la propagation de la COVID-19, ce qui a conduit à des cas d’abandon ou même de sacrifice de ces animaux. L’article souligne combien la pandémie a eu un impact négatif sur leur bien-être.
Auteurs : Kim Young-Il et al.
Source : Cell Host & Microbe
Date de publication : 6 avril 2020 – (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 8 novembre 2020)
Les auteurs apportent la preuve expérimentale que les furets sont sensibles au SARS-CoV-2, et donnent les résultats de leurs investigations cliniques, anatomo-pathologiques, etc. Ils démontrent aussi que les furets infectés peuvent transmettre le virus à leurs congénères.
Auteurs : Luan et al.
Source : Biochemical and Biophysical Research Communications 526 (2020) 165-169
Date de publication : 9 mars 2020 - (mis en ligne sur le site de l’AEEMA le 2 août 2020)